Merci de nous « délivrer » toutes ces informations.
J’ajoute que les effets secondaires (à long terme dans des traitements au long cours) des molécules en question ne sont pas nuls et que la dépendance aux produits dérivés les plus efficaces de la morphine non plus, dès lors qu’il faut augmenter les doses pour conserver leur efficacité dans des douleurs chroniques.
Les anti-inflammatoires (Cortisone ou AINS) ont aussi des effets secondaires indiscutables, mais ne sont pas spécifiques du traitement de la douleur...Ce qui était le sujet de l’article.
Enfin un nombre considérable de malades ne supportent pas la morphine ou les opiacés et leurs dérivés (vomissements, somnolence, dépression, voire confusion mentale etc..)
Ce qui est problématique dans les traitements chimiques actuels de la douleur chronique, en tant que telle, c’est qu’ils agissent tous au niveau central et non pas seulement au niveau local ; ce qui entraine nécessairement des effets secondaires pathogènes.
Reste la thermo-coagulation par rayon laser ou radio-fréquence des terminaisons nerveuses concernées qui est utilisée en France dans les névralgies faciales et que les allemands commencent à utiliser dans le mal de dos chronique (ex : arthrose) et autre lorsqu’aucun autre traitement n’est efficace..
Enfin en ce qui concerne l’acuponcture ou l’hypnose, le bilan est pour le moins contrasté et semble dépendre des cas et des personnes.