• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de ddacoudre

sur Aujourd'hui c'est quoi être libéral


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ddacoudre ddacoudre 22 novembre 2007 21:09

bonjour mjolnir.

j’ai éprouvé le besoin de faire un petit tour de la philosophie libérale, qui à inspiré les libertaires comme le soulignait gerko et aussi la pensée anarchiste qui n’est bien sur pas le désordre auquel il est maintenant attaché pour Mr tout le monde.

Et bien sur par tous les capitalistes qui justifient à travers elle l’exploitation de l’homme par l’homme, ce qui est bien à l’opposé de ceux qui se sont élevés contre cet état.

Sans que cela soit une entrave au commerce, mais l’ajustement de la motivation, pour passer au principe de la contrainte volontaire, constituent toutes les difficultés et les nuances de comportements, et c’est pour cela qu’il faut avoir une idée claire de la philosophie libérale même si elle est mouvante.

En lisant les commentaires, j’y lisais toutes les confusions qui se retrouvent généralement entre capitalisme et le libéralisme, qui parfois associé font confondre la liberté d’entreprendre avec celle d’exploiter, proche du servage par l’esprit « je l’emploie donc il m’appartient ».

Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.

Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.

De fait une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul.

Dans tous les autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers.

L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des guides.

Le reconnaître ne la rend pas irréductible ; et si le code civil a analysé en 1804 la « marchandisation » de la force de travail comme du « louage de service », donc du marchandisage, je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des événements culturels (développement des sciences) qui nous permettent de concevoir notre activité de travail complexes entre adultes culturalisés, comme une relation humaine, et non un conflit d’intérêt.

Cela naturellement nécessite une approche plus éducative de ce que j’ai appelé le « collectivisme fractal », ou entreprendre avec les autres.

cordialement.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès