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Commentaire de biotope

sur La clitoridectomie : la honte de siècle


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biotope 23 août 2008 09:43

ONUSIDA, qui a fait interdirre au doc willem (co-fondateur de médecins sans frontière) de traiter le sida par les huiles essentielles. car le sida est un syndrôme, non pas une maladie provoqué par le VIH (corrélation non établie), un affaiblissement du système immunitaire provoqué notamment par la dénutrition, le manque d’eau potable, etc. Avec ses huiles, il requinque le système immunitaire. Quand il a fait connaitre les résultats positifs qu’il obtenait, lui et d’autres médecins, l’onusida lui a interdit d’officier. eh oui, BIG PHARMA Veille à ses intérêts !

veuillez à lire ça :

http://www.sidasante.com/

Bienvenue sur $IDASANTÉ

Et si tout ce que vous avez appris à propos du $IDA était faux ?

Découvrez ce que les officiels du SIDA et les médias veulent vous cacher...

Le SIDA apparaîtra un jour comme la page la plus noire de l’histoire de la médecine.

Découvrez ici une vision d’espoir...

Le sida est-il causé par le virus VIH seul ou... par l’usage des drogues, médicaments et vaccins ? Guylaine Lanctot http://pagesperso-orange.fr/sidasante/journal/jouguyla.htm

bon, le doc lanctot à dérivé vers du spiritualisme, mais ce qu’elle dit n’en demeure pas fondé.

Si vous écouter la propagande officielle, vous n’êtes pas sortis des guerres et des mutilations génitales. Réfléchissez un peu, au lieu de faire laisse enfiler par les propagandistes.

Décembre 2006. Les médias de masse régurgitent en choeur une désinformation x fois réchauffée (*), et toujours pas digérée par ceux qui y voient un meurtrier permis de laisser aller sexuel, si ce n’est une monstrueuse radicalité politicoéconomique comme seuls savent les mettre en oeuvre les régimes totalitaires (capitalistes, communistes, intégristes) : « La circoncision aide à se protéger du sida, donc il faut circoncire tous les africains » ; parce que ces arriérés ne savent pas tenir leur sexe, en plus de ne pas savoir se le laver (enfin, les hommes seulement, les femmes savent, elles, même sans eau... on se demande comment), outre le fait qu’ils ne sont pas fichus de gagner assez d’argent pour se payer de coûteuses thérapies, et honorer ainsi le capitalisme ultralibéral mondialisé.

Sur France 5, le « Journal de la santé », qui peut dire tout et n’importe quoi, puisque les animateurs sont des médecins, reprend cette information en parlant de « cette association (l’A.M.E sans doute, qui parle quelquefois des courriers qu’elle envoie à la chaîne) militant pour la défense des prépuces, et qui nous écrit régulièrement » (une façon de ridiculiser, d’infantiliser ce combat, en réduisant l’opposition à la circoncision à une démarche fétichiste). On peut pourtant se poser la question : qui des opposants à la circoncision ou des circonciseurs et de leurs adeptes sont les plus obsédés par le prépuce ? Laquelle, de la démarche des circonciseurs ou de celle des opposants à la circoncision, est la plus douteuse ? Et on peut le dire et le redire, aux crapules médico-religieuses : vous pouvez pas l’oublier un instant, le prépuce, ou bien le prépuce vous obsède tellement que ça vous démange atrocement de le couper tout le temps ?

Ah mais ! C’est que ! Le prépuce est un terrain favorable aux virus et aux bactéries, qui y trouvent à se nicher. Et le sexe féminin, qu’est-il donc ? S’il est « le berceau de la vie » complexe, c’est qu’il est aussi le milieu de culture idéal des formes de vie simples, des virus, des champignons, et des bactéries. La vulve n’est-elle pas qu’un amas de peau qui pendouille lamentablement ; un amas de peaux dérisoires et ridicules, en plus d’être laides, sales, puantes, sur lesquelles se collent urines, menstrues et excréments, et où pataugent fébrilement les champignons, les virus et les bactéries ? Voilà bien ce qu’est le sexe de ces femmes qui ne sont pas en reste dans la course à la surenchère procirconcision masculine, ironisant sur la verge intacte, qui ressemblerait à une trompe d’éléphant. Mais franchement, quand on a pour sexe des oreilles d’éléphant, on évite de traiter la verge intacte de trompe d’éléphant ; quand on a pour sexe un pâté de campagne en croûte, on évite de parler de la verge intacte en terme de fromage. Sans déconner ! Il faut bien un peu de vulgarité pour s’accorder avec une proposition procirconcision si vulgaire en soi, si indécente en morale, si méprisante envers l’entendement. Sans déconner ! Véritablement, sans déconner ! Si ce monde tournait rond, ce sont les filles qui seraient circoncises, au nom de la salubrité publique ; et pas les garçons. Mais comme il ne tourne pas rond, ce foutu monde de cons, ce sont les garçons qui l’ont dans le trognon et qui se retrouvent, à la place du sexe, avec un moignon.

Vraiment, ils attendent quoi, les acharnés de la « circoncision sanitaire » qui se prétendent soucieux de la santé des indigents, pour étudier l’impact sur la santé publique des produits chimiques, pharmaceutiques, phytosanitaires, alimentaires, électroniques... notamment en matière de cancer (comme celui des testicules, en pleine explosion), de la stérilité masculine, de malformation génitale des bébés mâles, d’allergies, de maladies dégénératives (notamment cérébrales, qui font manifestement des ravages chez tous les crétins et les pervers qui acquiescent à l’idée de mutiler sexuellement ceux qui osent ne pas l’être déjà) ? [Ceux qui dénigrent la verge intacte en l’affublant des noms de fromage, oseront-ils bannir les laitages, mis en cause dans de multiples maladies ? Voir par exemple « Lait mensonges et propagande » et « Santé, mensonges et propagande » , de Thierry Souccar et Isabelle Robard.] [Les Américains (principaux promoteurs de la circoncision systématique des Africains intacts) et leurs multinationales du tabac, qui sera le principal tueur dans 25 ans, vont-ils multiplier les études pour légitimer la prohibition du tabac en Afrique et ailleurs ? Et les pervers qui se frottent les mains des études procirconcision, quelles mesures vont-ils plébisciter pour faire face aux ravages du tabagisme ? – « Inquiétants sont les chiffres publiés récemment par l’American Cancer Society et au terme desquels le tabagisme va tuer un milliard de personnes au cours du XXIème siècle. Dans deux ouvrages sur le cancer et le tabac, ladite société tout en rappelant que le tabac a fait 100 millions de victimes pendant le siècle écoulé, établit qu’aujourd’hui ce sont 1 milliard d’hommes et quelque 250 millions de femmes qui fument. » – Source : http://www.amessi.org/Fleau-du-tabagisme]

Quand on sait que le lien entre VIH et SIDA n’a même pas été clairement établi (voir http://perso.orange.fr/sidasante/http://www.sidasante.com/), quand on sait que le SIDA ne désigne pas une maladie mais un ensemble de symptômes trahissant une déficience immunitaire acquise... du fait de la misère, de la malnutrition, des mauvaises conditions d’hygiène, et de vie tout simplement ; sans oublier les vaccinations de masse, qui dépriment le système immunitaire, plus ou moins gravement (quand elles ne provoquent pas des affections graves allant jusqu’à la mort des vaccinés). Quand on se dit de surcroît que le SIDA résulterait de manipulations de laboratoire... On ne peut que douter des fondements affichés de cette volonté obsédante de circoncire tous les Africains. On peut se demander comment il se fait qu’aucune étude n’est faite pour déterminer l’intérêt de la circoncision féminine ablation des peaux de vulve, quand les études procirconcision masculine se démultiplient à l’infini (comment se fait-il que l’étude menée en Tanzanie n’ait pas fait l’objet d’une couverture médiatique mondiale, elle qui se conclue par l’intérêt de la criconcision féminine dans la prévention du SIDA, de la même façon qu’est présentée l’intérêt de la circoncision masculine dans cette prévention ?), et alors que le SIDA se répand aujourd’hui plus vite chez les femmes que chez les hommes (ce qui n’est pas étonnant, puisqu’on néglige un vecteur de la propagation, chez les femmes dont la sexualité est devenue identique à celle des hommes). Faut-il rappeler que par définition les MST concernent les deux sexes ? Comment se fait-il qu’on ne songe pas à couper les vulves, ne serait-ce que pour quantifier l’intérêt hygiénique pourtant évident de cette mesure ?

Pendant que les Etats-Unis et leurs épigones se plaisent à multiplier les études et les recommandations prociconcision, eux les plus gros pollueurs, les empoisonneurs, les pilleurs, les gaspilleurs de ressources vitales (notamment de cette eau précieuse qui fait défaut aux Africains, eau manquante au nom de laquelle les Américains répètent à plus soif qu’il faut circoncire les meurt-de-soif), ils se refusent à prendre les mesures radicales pour enrayer les maladies dévastatrices générées par leurs pratiques industrielles et médico-pharmaceutiques néfastes. Si les Américains multiplient les études procirconcision par humanisme, que font-ils ici et là, à massacrer et mutiler des centaines de milliers de personnes, pour voler leur ressources naturelles (notamment leur pétrole) et permettre aux Américains de se maintenir un niveau de vie flamboyant et indécent, ou plutôt, pour permettre aux proches du pouvoir procirconcision de s’enrichir toujours plus sur le dos des cons qui tendent le couteau à ceux qui veulent les amputer de leur prépuce ? Est-ce aussi par humanisme que le cartel pharmaceutique américaine a testé des médicaments contre le SIDA sur des Afro-américains pauvres confiés à l’assistance publique de New-york, en opérant de force les enfants récalcitrants – qui ne voulaient pas avaler les produits qui les rendaient gravement malades et les tuaient –, pour leur mettre une sonde gastrique et leur faire ingurgiter les produits de force, et ainsi les rendre malade et les tuer ? Est-ce par humanisme que cette industrie a frauduleusement pris des Africains pour cobayes non avertis et non consentant afin de tester sur eux des molécules médicamenteuses ? Sûrement pas, parce c’est cela l’Amérique de la circoncision ; qui multiple les « études scientifiques » promouvant la circoncision des Africains intacts : une Amérique nazie aux pratiques nazies (c’est ce genre d’expérimentations, d’ « études scientifiques », que menaient les Nazis).

Si ceux-là qui, avec une douteuse insistance, recommandent la circoncision systématique des Africains (et après les Africains, qui d’autre ?) sont si soucieux de leur santé, comment se fait-ils qu’ils ne fassent rien pour enrayer des maladies comme la tuberculose, la lèpre, et tant d’autres maladies qui sévissent en Afrique et qui se soignent à faible coût ? Comment se fait-il qu’ils ne fassent rien pour prévenir les maladies créées par l’activité humaine et qui menacent la survie même de l’espèce humaine ? Puisqu’ils aiment tant maintenir le monde au niveau de ses pratiques barbares, primitives, préhistoriques, avec la circoncision, comment se fait-il qu’ils ne veuillent pas maintenir le monde à son niveau préindustriel, primitif, préhistorique, sans pollution chimique, électromagnétique, génétique, biologique ?

Est-ce parce que « Il faut se mettre dans le contexte des africains, qui n’ont pas cette chance d’avoir de l’eau courante comme en Europe. Ils n’ont pas les moyens non plus de se payer la tri-thérapie. Après tout, si la circoncision peut aider, ne serait-ce qu’un tout petit peu, pourquoi pas ? » Comme l’eau est polluée partout sur la planète, vu qu’il reste de moins en moins d’eau potable, propre, y compris et surtout dans les pays industriels, demain il faudrait de toute évidence circoncire 100 % des hommes de la planète, au nom du manque d’eau propre, parce que plus personne ne pourra se laver avec de l’eau sans attraper toute sorte de maladies infectieuses… Et bien sûr les femmes, elles, échapperont toujours à l’amputation de leur vulve qui, par magie, par hérédité bien conçue, sentira toujours aussi bon l’anus de morue pourrie... Mais comment font les Africaines, les Orientales ou les Maghrébines, pour se laver la vulve, elles qui sont couvertes de la tête aux pieds sous 40° à l’ombre, elles dont la vulve croupie à l’étroit entre leurs cuisses obèses ; elles qui vivent dans des pays où l’eau est rationnée quand il y en a. Ce genre d’intrigue ne semble perturber personne.

On nous rabâche le mythe de la femme plus propre que l’homme, parce que les hommes n’ont pas particulièrement besoin de faire attention à leur hygiène intime, leur sexe ne réclame pas d’attention particulière, il est autonettoyant (grâce à son prépuce notamment), contrairement aux femmes, qui passent pour des propres parce qu’elles doivent passer plus de temps dans l’eau à nettoyer leur sexe pouilleux. Ce paradoxe est un comble, mais dans un monde à l’envers passent pour des sages ceux expliquent, justifient, banalisent les pires horreurs commises par l’espèce humaine, et les pervers passent pour des vertueux parce qu’ils doivent prendre des mesures pour dissimuler leur perversité, notamment en se cachant derrière des religions, tandis que les humbles, les vertueux, les simples, les naturels, les innocents, eux passent pour des impurs parce qu’ils sont comme la nature les a fait, avec le naturel que la nature a voulu pour tous. Et voilà donc que les femmes passent pour plus propres que les hommes parce que c’est aux hommes qu’ils revient d’accomplir les tâches sordides et parce que les femmes passent leur temps à se nettoyer le sexe, faute de quoi sa dégueulasserie ne pourrait échapper aux hommes, mêmes les plus niais ; elles qui passent leur temps chez le gynécologue à se faire enlever des morpions, des mycoses, des bactéries, des virus, des excroissances, des infections... Le monde marche bien sur la tête. Il marche sur la tête des circonciseurs.

Il faut rappeler à ceux qui pensent que le sida est une maladie, associée au VIH, et que la circoncision empêcherait de proliférer, que la circoncision ne prévient pas le SIDA. Si, selon les études rapportées, la circoncision diminue le risque de développer le SIDA, le risque est plus particulièrement sensible au mode de vie, au comportement sexuel, notamment au fait que les circoncis se trouvent essentiellement dans les populations adeptes d’une religion monothéiste, castratrice, qui diabolise la sexualité en contrôlant plus ou moins sévèrement les rapports sexuels. Ceux qui s’empressent de rapporter le mythe de la prophylaxie par la circoncision se hâtent aussitôt de moduler leurs propos (pour ne pas être accusés de favoriser un relâchement des mœurs et le développement prévisible du SIDA si les circoncis se croient préservés) : « La circoncision diminue seulement le risque de contracter le VIH, mais elle ne prémunit pas contre le risque. » Et bien ! Quel battage médiatique pour ce pétard mouillé ! Tant d’études pour conclure cela ? Et bien oui ! Cela suffit à la masse des pervers qui se font un malin plaisir à plébisciter la circoncision systématique pour n’importe quel prétexte, parce que cela permet de rendre les gens insensibles à la crapulerie des idéologies de masse cela permet notamment aux musulmans implantés en Occident de banaliser l’islam afin de le voir se propager plus vite que le SIDA, et ainsi dévaster les pays contaminés par cette religion de mort.

Est-ce là tout ce que les autorités sanitaires ont à proposer pour endiguer le SIDA ? « Parce que les hommes qui accepteront de se faire circoncire sont des hommes responsables. » Si les hommes qui se font circoncire sont des hommes responsables, comment se fait-il qu’ils ne sachent pas adopter un mode de vie responsable ; que ce soit en matière de sexualité non contaminante, en matière de reproduction rationnelle et raisonnable, ou encore en matière de consommation écologique, soucieuse de l’avenir des enfants ? La vérité est que rendre les gens cultivés, savants, adultes, responsables, autonomes, capables de faire des choix judicieux... cela, les tenants du pouvoir ne le veulent pas. Il est dans leur fondement de régenter la vie terrestre à grands coups de couteau, de massue et de bâton ; avec l’assentiment des aliénés infatués de ce qu’ils sont : des abrutis complets.

On nous parle de la face interne du prépuce, qui agirait comme une porte d’entrée pour le VIH, prépuce qu’il faudrait alors exciser… pourtant la face interne des lèvres vulvaires est similaire à celle du prépuce. Pourquoi ne prône-t-on pas l’excision des lèvres vulvaires ? Parce qu’elles présentent une surface plus grande que le prépuce (ce qui constitue alors une véritable mutilation génitale), dont l’excision serait dérisoire en comparaison ? Mais si les lèvres vulvaires sont plus vastes que le prépuce, cela signifie qu’elles présente une surface de contact plus importante pour les virus, notamment le VIH, auquel cas ce sont les femmes qu’il faudrait circoncire ! La légitimité de la circoncision féminine passe au travers de l’argumentation parce que la seule raison qui fait que les femmes ne sont pas coupées, c’est une raison politique, culturelle, religieuse... parce que la circoncision féminine va à l’encontre de la culture dominante, impérialiste, colonialiste : monothéiste ; qu’elle soit chrétienne, juive, ou musulmane, ces trois religions travaillant de concert à l’exploitation de l’Afrique et des Africains, tout en faisant disparaître les religions animistes qui sont très importantes en Afrique (et dans les pays où survivent les descendants des esclaves africains, comme dans les Amériques).

Faut-il rappeler que le SIDA a fait son apparition en Afrique et aux Etats-Unis, là où la circoncision était largement répandue... Alors pourquoi toujours taper le sexe, le sexe masculin, pourquoi toujours promouvoir la circoncision ; au lieu de s’attaquer aux véritables causes du SIDA, des MST, et des fléaux sanitaires qui déciment les populations ? Parce que le SIDA n’est qu’un prétexte. Un prétexte à quoi ? Au colonialisme, à l’impérialisme. Derrière la multiplication des pseudo études scientifiques que n’importe quel crétin pourrait mener et conclure, il y a des visées politiques, économiques, industrielles, culturelles, liées à la mondialisation, à l’asservissement des peuples. Car en effet, quel camouflet pour les impérialistes de tout bord, de voir des Africains vivre en dehors des règles établies par le monothéisme et son culte de l’égo, de l’unique, du pouvoir central et suprême ! Pour soumettre les Africains qui vivent hors des règles mondialisées, il faut commencer par les circoncire, les amputer de leur fondement, comme cela a été imposé à tous ceux qui vivent sous le joug du monothéisme et de son hégémonie, son impérialisme raciste, sexiste, esclavagiste, discriminatoire.

Il n’y a rien de novateur dans la prescription pseudo médicale des circonciseurs de tous bords. Il n’y a rien qu’un sordide et banal retour au 19ème siècle esclavagiste, puritain, auquel on assiste partout dans le monde. Il n’y a qu’une uniformisation du monde par la régression socioéconomique et sanitaire. Le temps des fléaux est revenu. En un temps où le complexe médico-pharmaceutique subit des défaites continuelles face aux fléaux sanitaires créés par l’activité humaine, il est devenu de bon ton de revenir à de vieilles mauvaises méthodes. Comme jadis on disait (pour brider la sexualité, le développement humain, social, culturel, intellectuel, spirituel) « le diable est dans le sexe », aujourd’hui on dit « le SIDA ».


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