Votre réponse est totalerment insatisfaisante. Je prends acte que vous n’avez rien à offrir, rien à proposer à des gens qui ne souhaitent pas vivre dans un environnement islamisé non en raison d’atteintes à la laïcité - préoccupation d’intello dont ils se foutent complètement -, mais tout simplement par l’irrésistible poids du nombre.
Je pense que vous savez qu’il y a, par exemple, en France de vastes quartiers dans lesquels il serait impossible d’ouvrir une boucherie normale, c’est-à-dire non halal...
Et je vous entends d’ici : - C’est complètement intolérable, il faut que l’Etat...
Malheureusement pour vous, il se trouve que je connais bien la déclinaison du verbe falloir : il faut, il faudra, il faudrait, il aurait fallu...
La triste vérité, c’est que, comme tous les autres, vous vous gargarisez de mots, de grandes théories, de principes intangibles, de valeurs infrangibles de la République et de droit-de-l’hommisme à toutes les sauces, mais tout ça, par rapport au malaise trop réel de trop de Français, c’est du vent, de l’harmattan, du sirocco, du simoun...
Et si vous avez cru pouvoir noyer sous un flot de paroles politiquement correctes, vous n’êtes pas parvenu à me faire oublier que vous n’avez pas répondu à la question toute simple que je vous ai posées :
Quelles possibilités de se faire entendre laisse-t-on à ceux qui refusent l’islamisation progressive de leur pays, vieille terre indo-européenne, de civilisation chrétienne et de culture grecque et latine ?
Quelles possibilités, je vous le (re)demande ?
Je le dis pour vous rassurer, c’est la deuxième et dernière fois.