Excusez-moi de vous donner une petite leçon de démocratie en deux points :
1- l’opposition est non seulement un droit mais en plus un devoir, celui qui nous ferait condamner pour non assistance à pays en danger
2- votre raisonnement qui me ferait passer pour obsessionnel s’il était appliqué à la justice ferait qu’un voyou ne pourrait jamais être récidiviste, en d’autres mots si un voyou vole une foi et si on l’attrape on le condamne une fois. S’il vole une seconde fois on l’attrape une seconde fois et on le condamne une seconde, s’il vole une troisième fois on l’attrape une troisième fois et on le condamne une troisième. Sauf pour vous semble-t-il. Après la première fois, une fois dénoncée c’est pour tout le temps. Il peut voler tant qu’il veut et personne n’a le droit de le dire. Et si vous êtes assez malin pour comprendre vous verrez que si Sarkozy ment une première fois on condamne une première fois son mensonge. S’il ment une seconde fois on condamne une seconde fois son mensonge. S’il ment une troisième fois on condamne une troisième fois son mensonge. S’il est arrogant une première fois on condamne une première fois. S’il est arrogant une seconde fois on condamne une seconde fois. S’il est arrogant une troisième fois on condamne une troisième fois. s’il est incompétent une première fois on condamne une première fois s’il est incompétent une seconde fois on condamne une seconde fois... vous voulez un dessin. Et si Sarkozy n’était pas un menteur obsessionnel, si Sarkozy n’était pas un arrogant obsessionnel (et voici pour vous un article à tomber le cul parterre, non seulement Sarko veut nous faire rejoindre le commandement intégré de l’Otan, mais en plus il veut être à la droite du père contre la coutume et même la logique qui veut que les places soient distribuées alphabétiquement) s’il n’était pas un incompétent notoire, s’il ne méprisait pas tout le monde ce serait mieux pour la France et cela m’éviterait d’en parler. Alors si vous voulez que mes articles cessent allez souffler dans le tuyau de l’oreille de votre aimé chef de cesser de mentir, de cesser ces insultes publiques, de cesser son arrogance, de cesser de monopoliser la parole (on allons avoir droit demain à une nouvelle intervention de notre Fidel à nous). Donc agissez auprès de lui et je n’écrirais plus.