Moi aussi, j’ai été à l’école. J’ai eu droit à ce discours.
Les économies « socialistes » sont des modèles sous-entendus dont il faut s’inspirer.
Je n’y ai jamais adhéré. Pourtant, j’étais jeune.
On nous expliquait aussi qu’après les Révolutions de février et d’octobre 1917, les premiers essaie d’économie socialiste avaient échoué et qu’il avait fallu lancer la N.E.P. . Cette politique était une première ébauche du socialisme.
Le véritable problème vient des mots employés :
Le Communisme, ce n’est pas le Socialisme.
La République, ce n’est pas la Démocratie.
Mais sans cesse, tous parlent indifféremment. C’est çà le problème.
Le libéralisme, ce n’est pas le capitalisme ou le néo-libéralisme.
Voilà, philosophiquement, les pensées sont différentes. Le manque de rigueur volontaire ou non conduit à des glissements sémantiques. Et le résultat : c’est que finalement, on ne sait plus de quoi, on parle.
Du coup, on n’a plus de modèle de référence. À force de mélanger les genres...les lignes de partage sont confuses.
Et finalement, on se replie sur ses propres intérêts au risque de grosses contradictions.
Chaque modèle de pensée est un modèle Et de l’humain Et du vivre-ensemble.
Moi, j’ai choisi : ni capitaliste ni communiste.