Toutes les fêtes, - Noël mis à part, dont le carractère particulièrement dépensier est connu - sont une aubaine pour les petits commerçants, fleuristes, les patissiers et les chocolatiers, et peut-être aussi pour les libraires et les disquaires. Est-ce vraiment un problème ? Les cadeaux qui font le plus plasir aux mamans sont ceux frabriqués par leurs jeunes enfants, encadrés par leur maitresse à l’école. C’est à eux, d’abord, que cette fête fait plaisir. Je comprends que le coté « obligatoire » agaceles grands enfants. J’imagine que tout le monde n’a pas envie d’aller déjeuner avec sa mère ce jour là. Mais chacun sait qu’un simple coup de fil, un mail ou même un texto, font plaisir. Et si l’on a oublié cette fête, il est toujours possible de se rattraper le lendemain. Et dans tous les cas, une pensée pour sa mère n’a pas besoin de fête pour évoquer tous les sentiments auxquels je fais allusion, juste allusion, dans ce papier. Cordialement, ED