Christophe_M,
Merci pour le conseil du bouquin.
Si vous vous souvenez « I comme Icare » avec Montand, il y avait la démonstration par l’absurde de jusqu’où l’homme pouvait aller. Milgram voilà la technique.
On met des hiérarchies et on contrôle tout. Personne n’ose plus dire quoi que ce soit vers le haut, de peur d’être viré. En haut, tout doit être parfait puisque personne ne se plaind. La démocratie est le moins mauvais des régimes, mais il a oublié quelque chose, les minorités.
On en connait quelque chose chez nous : les francophones légèrement inférieurs en nombre que les flamands du nord.
La mondialisation, vaste sujet. Il ne faudrait pas oublier que nous en avons profitté.
Quand on commence à produire plus qu’on ne consomme, il y a un problème ; Les machines ont permis ce genre de transformation. Donc, il fallait ouvrir les frontières sous peine d’étouffer. On le voit actuellement, les stocks ne s’écoulent plus qu’avec pertes non annoncées pour les voitures et autres gadgets de notre temps. Il n’y a plus que des promotions. Mais cela reste cher pour certains qui se sont organisés autrement avec la crise.
La laïcité est un choix qui est de moins en moins demandé dans le monde vu les priorités. Les Droits de l’Homme en Chine, c’est pas avec les JO qu’on allait les offrir sur un plateau.
L’homme a besoin de sécurité, de quelqu’un qui comprenne ses problèmes, ses erreurs. Il se décharge de celle-ci sur un être au-délà.
Alors, cher Christophe, vite un Ave et un Pater et tout sera résolu. C’est en haut que cela sera coàmptabilisé. Donc, après nous les mouches.