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Commentaire de Max

sur Nadine Morano sauvée par le Net ?


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Max 16 décembre 2009 16:04

De belles réactions de bobo gaucho smiley ici.

Toute une partie des jeunes se parent du statut de victime, que leur offre les gaucho bobos.

Des jeunes qui n’ont rien foutou à l’école,- primaire, collège, lycée, 12 ans d’étude tout de même-, qui parle mal le français, qui s’ils peuvent s’habiller comme bon leur semble dans le privé se doivent de s’habiller avec un minimum de correction pour rechercher un emploi, etc.

Recruteur, je vois ça tous les jours, que ces jeunes arrêtent de pleurnicher, et se mettent au boulot, il y a tous les jours des formations qui ne se font pas faute de candidat, ou tourne presque à vide pour les même cause, etc.

Faut passer un peu de temps ds une agence d’intérim par exemple, pour comprendre, écouter une heure la façons dont ces jeunes entre en communication avec autrui...

@ Sylvain Reboul je cite : « Le propos de N. Moreno sont typiques d’une réaction de mépris quasi insultant à l’égard des jeunes de banlieues, assez stupides, selon elle, pour ne pas distinguer entre s’habiller et parler pour s’intégrer à la bande de copains et pour se présenter à un employeur. » = venez un peu voir la France d’en bas, des quartiers, moi je bosse avec tous les jours, et oui il y a un énorme problème de stupidité, lié à une absence de -presque- toute éducation. Et non, il ne font pas pour la plupart la différence entre un employeur et le copain de la bande, vous sortez d’où vous ? Vous faites des recrutement stous les jours dans les quartiers ? Moi oui.

A ces jeunes, le plus beau cadeau qu’on puisse leur faire, c’est de leur dire d’arrêter d’accepter d’être victimiser, de se prendre en main, et de se mettre au travail (reprendre des études, bouger, apprendre à parler correctement, les normes sociales en matière d’habillement, s’intéresser à des métiers qui recrutent, etc.) je le fais tous les jours et ils me remercie, une question de respect, personne ne s’adresse à eux avec franchise et honnéteté, et en croyant en eux, car tous comprennent que je croie en leur capacités à devenir quelqu’un, à accéder à un emploi en se bougeant, en travaillant, contrairement à tous les rigolos qui les rabaissent toujours au statut de victime.



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