Waldganger,
Merci pour l’appréciation. C’est votre commentaire qui me stimule pour continuer à dénoncer les travers de nos décisions.
Si vous avez lu mon « A propos », c’est un peu le message que j’essaye de passer.
Je me répète parfois. C’est évident. J’aborde un leitmotiv.
L’enfance est bien plus importante que le reste de l’éducation.
C’est la partie de vie pendant laquelle, il n’y a pas de préjugés, pas de faux semblants
Tout est encore possible pour l’orientation future. Emerveiller les jeunes qui y pense encore ?
Moi, qui ai fait partie du système de remplacement des hommes par les machines, je peux dire que dans la « bataille », on a oublié l’homme et le manque à gagner de son côté.
Extrait de mon eBook :
"On pourrait me répliquer des questions telles que celles-ci.
-
L’informatique a brisé beaucoup de carrières. Elle a volé la profession
de beaucoup d’hommes et de femmes. Tu t’en es pourtant bien porté et tu
en as tiré profit, toi, l’informaticien.
Ma réponse viendrait automatiquement.
-
C’est exact. Je ne répondrais pas avec la réponse habituelle qui dirait
qu’on ne va pas contre le progrès et que si ce n’était pas moi, ce
serait d’autres qui auraient fait le travail. Il faut avoir une
certaine envie de fainéantise pour faire un tel métier. Je dirais que
le l’homme n’est pas fait pour le travail idiot. Le travail tel qu’on
le voyait dans le film « Les Temps modernes »,
devait un jour trouver remède. Il est vrai, que les espoirs ont été
dépassés par les désespérances. A l’heure actuelle, beaucoup de
développements sont programmés pour supprimer de l’emploi et réduire
ainsi les coûts. Le « travailler mieux » semble être la solution finale
avec l’automatisme des tâches ingrates pour les hommes. Ne plus
travailler « bêtement », donc, aussi."
Mais il y a tant à dire sur le sujet qui dépasserait de beaucoup cet article.