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Commentaire de tourn en ron

sur Vers une autre crise économique signée Goldman Sachs


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tourn en ron 15 mars 2010 18:28

lisez le debut vous trouverais le reste sur le net Beaucoup d’énigmes entourent le centre secret du négoce bancaire international : la maison ROTHSCHILD.

En 1750, MAYER AMSCHEL BAUER acheta la banque de son père à Francfort et troqua son nom pour celui de ROTHSCHILD. Mayer se maria. Il eut cinq garçons et cinq filles.

Les prénoms de ses fils étaient Amschel, Salomon, Nathan, Kalmann (Karl) et Jacobs (James). Son ascension s’accéléra lorsqu’il obtint les faveurs du PRINCE GUILLAUME IX de HESSE-HANAU. Il prit part, en sa présence, à des rencontres de francs-maçons en Allemagne.

Ce prince Guillaume, ami de la DYNASTIE DE HANOVRE, avait des revenus financiers considérables en louant ses mercenaires de Hesse au roi anglais (de Hanovre). Ce furent les mêmes troupes qui combattirent, plus tard, contre l’armée de George Washington dans la « Valley Forge ». Rothschild devint le banquier personnel de Guillaume. Lorsque le prince Guillaume dut s’enfuir au Danemark à cause des troubles politiques, il déposa à la banque Rothschild le salaire des mercenaires, soit 600.000 livres.

NATHAN ROTHSCHILD (le fils aîné de Mayer Amschel) emporta avec lui cet argent à Londres grâce auquel il put ouvrir aussi une banque. L’or qui servit de garantie était issu de la « East India Company ». Nathan obtint une plus-value de 400% en prêtant de l’argent au DUKE OF WELLINGTON qui finançait ainsi ses opérations militaires et en vendant aussi, plus tard, de façon illégale l’or qui devait servir de garantie. Ces transactions furent à l’origine de la fortune gigantesque de la famille Rothschild .

C’est alors que débuta le commerce bancaire international : chaque fils ouvrit une banque dans un pays différent, Amschel à Berlin, Salomon à Vienne, Jacobs à Paris et Kalmann à Naples. Salomon Rothschild était membre des francs-maçons.

MAYER AMSCHEL ROTHSCHILD écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de la famille devait être gérée à l’avenir. La fortune serait administrée par les hommes et ce serait l’aîné qui aurait le pouvoir décisif et trancherait en cas de désaccord. Toutes les tenues de compte devaient rester absolument secrètes, particulièrement pour le gouvernement.

EN 1773, MAYER AMSCHEL ROTHSHILD aurait rencontré en secret dans la maison des Rothschild, à Francfort, douze bailleurs de fonds aisés et influents (en fait les Sages de Sion) pour mettre à l’étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale. Aux dires de Herbert G.Dorsey, ces bailleurs de fonds auraient souligné, entre autres, le fait que la fondation de la « BANQUE D’ANGLETERRE » avait permis d’exercer une influence considérable sur la fortune anglaise. Ils déclarèrent aussi qu’il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu’ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit.

Selon les documents de Dorsey et William Guy Carr « Pawns in the Game », ce plan aurait finalement été connu sous le nom de « PROTOCOLES DES SAGES DE SION ».

LA BATAILLE DE WATERLOO

Ce fut le meilleur coup réussi par la famille Rothschild qui avait élaboré, déjà à cette époque, un parfait système d’espionnage et de courrier dans toute l’Europe.

Le 20 juin 1815, un de leurs agents arrivant directement du champ de bataille informa NATHAN ROTHSCHILD de la défaite des français. Nathan se dépêcha en toute hâte à la Bourse de Londres, il fit croire en vendant toutes ses actions « English Consul » que l’Angleterre avait perdu la guerre. La rumeur s’ébruita si vite que la plupart des actionnaires, pris de panique en pensant tout perdre, vendirent à leur tour leurs actions « English Consul ». Au bout de quelques heures, la valeur des actions était tombée à 5 cents, c’est alors que Nathan les racheta pour une bouchée de pain. Peu de temps après, la nouvelle officielle sur l’issue de la bataille se répandit à Londres. En l’espace de quelques secondes, le cour des « English Consul » dépassa la valeur première et ne cessa de monter.

Napoléon avait eu son Waterloo et Nathan avait obtenu le contrôle de l’économie anglaise. En une nuit, la fortune déjà gigantesque des Rothschild s’était multipliée par vingt.

Les Français avaient visiblement des difficultés à se remettre de leur défaite. En 1817, ils conclurent un accord pour obtenir un crédit d’un montant considérable de la Banque française OUVRARD et des BARING BROTHERS de Londres mais ils ne s’adressèrent pas aux Rothschild. L’année suivante, la France eut de nouveau besoin d’un crédit, ils écartèrent encore une fois les Rothschild : Cela ne plut pas du tout à ces derniers, et ils essayèrent par tous les moyens possibles de convaincre le gouvernement de leur laisser l’affaire, mais ce fut en vain.

Le 5 novembre 1818 survint un événement inattendu. Le cours des obligations du gouvernement français qui n’avait cessé de monter pendant un an commença soudain à chuter sans arrêt. L’atmosphère était tendue à la cour du roi Louis XVIII. Les seuls à ne pas en être affligés, et même à en rire, furent les frères Rothschild, Kalmann et Jacob. Ceux-ci avaient acheté, en octobre 1818, une énorme quantité d’obligations du gouvernement français grâce à l’aide de leurs agents et à leurs réserves illimitées, obligations émises par leurs rivaux Ouvrard et Baring Brothers. Le cours des obligations était donc monté. Mais le 5 novembre 1818, il se mirent à inonder d’innombrables obligations le marché libre des principales places commerciales d’Europe, ce qui provoqua une « panique » sur le marché.

La situation changea d’un seul coup, les Rothschild devinrent le « numéro un »en France. Ils bénéficièrent de toute l’attention de la cour française, au-delà même du domaine de la finance. A Paris, la maison Rothschild s’était emparée du contrôle de la France après la défaite des Français, et à Londres, Nathan Rothschild, en contrôlant la « Banque d’Angleterre », exerçait une influence directe sur le Parlement britannique.

Pendant ce temps, qu’en était-il des finances aux Etats-Unis ?

Les présidents américains BENJAMIN FRANKLIN et THOMAS JEFFERSON étaient farouchement opposés à l’idée d’une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine.


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