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Commentaire de posteriori

sur Un peu de logique dans l'affaire DSK


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posteriori 20 août 2011 19:07

Ce qui ne va pas dans la suite d’évènements

Elle entre dans une chambre où une autre personne se trouve qui lui confirme qu’elle est vide, même si c’est une super suite à eux deux ils ne detectent pas la présence d’un client.
Il sort de la douche nu, elle ne fuit pas aussitôt, il l’enferme à clé sans clé, elle a le pass sur elle mais n’essaye pas de fuir, ne crie pas, ne le gifle pas, ne fait rien que ferait une femme qui se sent prise au piège .

Elle sort de la chambre et part pour en nettoyer une autre suite à l’agression, tétanisée de terreur et un tendon déchiré. Quand elle est retrouvée prostrée par le service d’ordre elle met un très très long moment à se laisser convaincre de porter plainte (syndrôme de stockholm ?), service d’ordre qui est, d’après tout ce qu’on entend, payé pour éviter d’ebruiter ce genre d’évènement, publicité négative oblige, drôle d’inversion des rôles.
Le personnel accompagné de la police tend aussitôt un piège à dsk (les fameuses affaires oubliées, la police qui bosse pour le proc et dont le bureau a reconnu qu’elles n’existaient pas), en comptant les atermoiements de la « victime présumée » et malgré le harcèlement des étouffeurs, on a des policiers présents très rapidement sur les lieux, il n’a eu que le temps d’aller dejeuner avec sa fille, se rendre à l’aeroport et embarquer dans un avion.

Dans la nuit TB qui ne dort pas, qui a un dossier dsk sous le coude et qui s’informe en permanence sur NY city News dépose une plainte à l’afp...


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