Yves Ducourneau, membre de ReOpen911, ingénieur informaticien, le même ? 
http://www.youtube.com/watch?v=ZdEcyk5G80s
Ok, « Science et Vie » et « Science et Avenir » c’est de la merde. Et à part votre feuille photocopiée n°3 vous publiez où vos scientifiques et experts ? Ah, zut, vous n’en avez pas à ReOpen. 
Sur le site Bastiso http://www.bastison.net/  ; on peut lire
Italie du 4 au 6 avril pour le SEWC
(Structural Engineers World Congress), un congrès réunissant,
tous les 4 ans environ, les personnes faisant du calcul de structure
à travers le monde. Une des particularités de ce congrès
est d’accueillir à la fois des scientifiques et des ingénieur.
Sont présentées les dernières avancées
en matière de recherche, mais aussi des procédés
innovants ou des réalisations excep-tionnelles. Il a notamment
été exposé, en détail, les techniques
utilisées pour l’érection des derniers 150 mètres
de la tour Burj Khalifa (828 m de haut) en 2009 à
Dubai.
Assez bizarrement,
malgré les redoutables inégalables exceptionnelles
inimitables inénarrables fines lames réunies
par Richard Gage autour de lui, aucun truther n’est venu
présenter quoi que ce soit lors de ces journées réunissant
plus de 300 personnes spécialistes du domaine. Rien... Le
vide... Le néant...
C’était
pourtant une occasion UNIQUE de faire avancer la Science en matière
de calcul
de structures : des sessions étaient spécialement
dédiées, entre autres, au comportement au feu des
bâtiments, au calcul des immeubles de grande hauteur (IGH),
à la sismique, à la dynamique des structure, etc.
Il est certain qu’à
part amuser quelques spécialistes lors d’un dîner entre
amis, l’armée mexicaine réunie par Richard Gage ne
peut plus espérer grand chose. Mais le ridicule n’ayant jamais
tué, ils auraient pu tenter... Caramba ! encore raté
!
Plaisanterie mise à
part, ces sessions sur les IGH ou le calcul au feu étaient
justement intéressantes par les références
aux expertises déjà menées sur les tours du
WTC. Toutes les dernières méthodes de calcul sont
venues confirmer sans équivoque ces résultats, ce
qui fait que les études du NIST sont désormais considérées
comme un benchmark (un cas test) incontournable pour les nouveaux
outils de calcul.
J’étais certes
à ce congrès pour tout autre chose, mais cela m’a
permis de vérifier que ce que j’avais pu avancer jusqu’ici
sur ce site était plus que jamais considéré
comme acquis dans la communauté.
Info
2 : le lendemain, 7 avril, j’étais invité pour
une autre conférence, mais cette fois spécifiquement
sur le 11-septembre, lors d’une journée
spéciale ingénierie forensique à Paris.
Les organisateurs m’avaient en effet demandé de faire le
bilan des études menées aux Etats-Unis sur les attentats
du 11-septembre 2001. Une présentation bien sûr beaucoup
plus technique que ce que j’avais pu faire par ailleurs,
puisque pour cette journée l’idée était surtout
d’analyser comment le retour d’expérience pouvait s’opérer
lors de telles catastrophes. Une culture qui a encore du mal à
émerger en France.
Hélas, là
non plus, pas de truther à l’horizon...
Pourtant, des personnes
reconnues dans l’évaluation des situations critiques, ou
l’expertise de défaillances, auraient pu leur apporter leurs
lumières. Comme Jonhatan Wood, éminent spécialiste
en Angleterre d’ingénierie forensique, ou Denys Breysse,
président de l’AUGC et auteur d’ouvrages de référence
sur l’estimation du risque en génie civil.
Je dois dire que j’ai
été très honoré d’être invité
à présenter un exposé en même temps que
de telles personnalités du domaine.
Et les nazes, vous pouvez proposer un article dans les Annales du Bâtiment
et des Travaux Publics". 
http://www.bastison.net/Graphique/Images1/Annales.jpg