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Commentaire de Wierko

sur Grèce, Italie : quand la finance prend le pas sur le politique


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Wierko 16 novembre 2011 11:04

C’est trop simple de mettre cela sur le dos du marché.

Il s’est juste engouffré là où l’homme a montré ses limites : malgré une hausse du niveau d’éducation, d’un bon niveau de vie, il a été incapable de faire quoi que ce soit de ce que la violence et les révoltes ont amenés par le passé. Même éduqué et intelligent, l’homme ne marche qu’à la crainte, la peur et la haine de son voisin. On ne peut pas le changer, cela offre ainsi toujours des opportunités aux manipulateurs, qui discréditent par leur succès la souveraineté du peuple. L’avis du peuple n’a aucune importance si on laisse la majorité, se laissant toujours effrayée, décider à la fin.
Face à cette faible valeur du peuple, il est normal que les marchés les sanctionnent. Moral et humaniste, j’en sais rien, mais juste et logique, ça ne fait aucun doute.

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