Mais vivez vos choix au lieu de parler dans le vide.
Le bilan CO2 des pseudorenouvelables veut dire des mines de charbon plus grandes rien que pour la fabrication (le sillicum n’est pas purifié à température ambiante et l’acier supplémentaire pour les mats des éoliennes ne se forgent pas tout seul). Le meilleur étant qu’à l’utilisation, c’est rebelote. Plus de matière transformé sont nécessaire pour capter une énergie diffuse mais comme en plus elle est aléatoire, il faut doubler le réseaux !
En sus, toute matière contient de la radioactivité et que donc les pseudorenouvelables déverse directement dans l’air la radioactivité du charbon supplémentaire dans l’air.
En sus, les centrales au thorium ouvrent la voix au recyclage des déchets radioactifs... mais en énergie et dans une réaction souscritique (une horreur pour les antinuk qui sont contre).
J’éviterais de me la jouer sans paradoxes histoire de revenir sur terre.