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Commentaire de Jonas

sur Syrie : Bachar Al-Assad, droit dans ses bottes et plus serein que jamais


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Jonas 30 août 2012 22:57

Les imbéciles ! Ils n’ont rien compris au dictateur syrien.


Ce sont les mêmes qui votaient comme des moutons des années durant sans réflexion.
-Saddam Hussein= 99,96 %
-Ben Ali = ( en amendant la Constitution) = 94, 62 %
-Boutéflika ( bien qu’ il ait bidouillée la Constitution) = 90 ,24 %
- Egypte = 88, 60 %
-Muammar Kadhafi , lui fut élu une fois pour toutes. 
-Les régimes monarchiques arabes ont tous une filiation avec le Prophète de l’islam, donc doivent régner à vie 
- Après le coup d’Etat d’Hafez al-Assad et son règne par la terreur seul ciment de la Syrie et son massacre en 1982 de 30 000 syriens à Hama son dictateur de fils prend le relais et devient un héros de certains demeurés.
Aujourd’hui ils insultent ceux qui ont le courage de se révolter et prennent Bachar pour un résistant.

Voilà un resistant comme ils l’appellent certains tarés qui depuis qu’il est arrivé au pouvoir n’a pas oser tirer une seule balle de sa frontière sur Israël. 
Voilà un résistant qui pour les victimes du lyrisme arabe bien connu à garder au frais son aviation lorsque, celle d’Israël à détruit sa centrale nucléaire.
Aujourd’hui cet assassin de son peuple issu d’une minorité massacre et traitent tous les hommes et les femmes qui le combattent de terroristes, lui, comme son père excellaient dans ce domaine au Liban et ailleurs.

Tout a fait au début de la révolte le dictateur Bachar al-Assad par la voix de sa conseillère et porte-parole Bousseïna Chaabane ( je n’entends plus parler d’elle , bizarre ! ) avait accusé « Certains réfugiés palestiniens du camp de Ramel ( proche de Lattaquié ) de vouloir créer la fitna * en tirant sur les forces de sécurité et sur les manifestants » , afin de faire monter la tension entre eux.Puis comme la sauce n’a pas prise et comme la dictature méprise son peuple au point de croire qu’il est incapable de prendre conscience de son état. et bien, elle invente la main de l’étranger, Américains, Occidentaux et Sionistes comme en Iran.

Pour finir , je veux citer l’universitaire Jean-Pierre Fillu «  Pour mesurer l’ampleur de cette sauvagerie, il faut rappeler que Deraya ( ville martyre) est le berceau syrien de la non-violence . L’imam local, Abdelakram Saqqa , est un disciple du cheikh Jawdat Saïd pour qui la violence est un démon. Durant tout le printemps 2011, les manifestants de Deraya brandissaient des rameaux d’oliviers et scandaient » Silmiyé, silmiyé ( Pacifique-pacifique) Mais la répression et les exactions du dictateur et de sa milice de voyous les chabiha ont changé la donne.

* Fitna : c’est la dissension confessionnelle redoutée par les régimes arabo-musulmans.



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