Bonjour,

Comme Fergus , je trouve Marc Jutier que ton article est pertinent et que cette Phrase : « Jamais les oppositions qui semblent si violentes entre ce qu’il convient encore d’appeler droite et gauche n’ont été aussi artificielles. » résume la situation.

Est-ce la vrais politique de fond de f. Hollande et du PS ?

Est-ce une nouvelle trahison d’un homme « FH » et des dirigents du PS ?

Franchement je ne sais pas , en y réfléchissant je viens de trouver une piste pour éclairer ce qui s’est passé et construire sur du solide.

Avant le parti communiste avait plus que 20% des votes et le parti socialiste était positionné à droite de l’aile gauche avec peu de voies. En 1981 le PS a absorbé une grande partie des électeurs du PC ce qui était la condition nécessaire pour avoir un président de gauche . Un président communiste menait certainement a un coup d’état.

En 2012 j’ai fait l’erreur de voter pour FH que je le pensais a gauche et j’ai fait une erreur grossière. L’ensemble des partis politique s’est déplacé vers la droite depuis ces 20 dernières années, le PC a aussi fait de même après la chute du mur de Berlin. Le parti socialiste n’est plus un parti de gauche mais pour conserver ses électeurs dont notamment les anciens communistes il affiche des slogans racoleurs autant que provocants.  FH clame je suis l’ennemi de la finance, 75% d’impôt ......................

Le PS n’a pas sa place a droite ni au centre déjà occupé. Donc il pratique une politique centriste, voir même assez conservatrice.

 Le PS est aujourd’hui fondamentalement un parti centriste dont il pratique la politique et partage les valeurs. Mais il proclame des slogans de gauche pour ne pas perdre la moitié de ses électeurs anciens communistes.

Résultat trompé par ce faut langage plus de la moitié de ses électeurs crient a juste titre TRAHISON ! en voyant François Hollande aider activement le MEDEF à réduire et neutraliser le code du travail par exemple. FH est mondialiste . Il est pour une Europe néo-libérale qu’il construit activement en prenant le relais de N. Sarcozy.

Cette hypothèse me semble hélas confirmée 

mac résume tout avec clarté  : «  Si un changement de paradigme doit intervenir, il ne doit pas emprunter son nom au socialisme, idéologie trop souvent dévoyée par des partis qui en ont emprunté le nom. »