Bonjour @smilodon
Puisque nous parlons d’eau, croyez-moi ou non, je ne suis pas né de
la dernière pluie. J’ai conscience que nous vivons dans une société qui accepte
ce suicide collectif pour des raisons de chantages économiques et commerciaux
(imposés par nous-mêmes). Boire, manger et même respirer devient un danger
mortel. Personne n’est à l’abri, toutes et tous, nous pouvons commencer une
collection de cancer tôt ou tard. Comme je le disais, sous un autre avatar : «
il faut laver au moins 5 fois par jour les fruits et légumes avant de les
consommer. » J’ai été victime d’une tentative d’assassinat de ce genre et les
coupables (de véritables Serial-Killer) sont vraiment trop nombreux pour
répondre de leurs actes devant la Justice. (Toi, moi, vous et la Justice sommes
complices, donc...)... (Sauf exception, pour ceux et celles qui répondent
fièrement : « Eux, oui, mais pas MOI ! »)
Parfois, l’eau du robinet est blanchâtre, fort heureusement, elle n’est pas
brunâtre. Il faut dire que cette eau sortie des égouts est longuement traitée
avant que nous puissions la boire à nouveau. Lorsque que je devais évacuer mes
traitements chimio dans la cuvette des toilettes, je me demandais si les
poissons du fleuve d’à côté, où se jetaient les eaux usées des égouts, allaient
être immunisés du cancer ?... (Et les pécheurs, sont-ils immunisés ?) Et la
station d’épuration, est-elle capable d’épurer l’eau de toute une série de
produits chimiques toxiques ingurgités puis rejetés par tous les malades de cet
hôpital ? Attention, l’eau du robinet peut contenir une présence infime de
médicaments, drogues en tout genre et de nombreux produits chimiques. (En
présence infime, soulignent-ils, en souriant.) Cela dit, l’eau minérale contient
également des choses suspectes dont la présence est infime (les particules
infimes provenant des « Magic Cloud » de Fukushima, Tchernobyl et d’une
trentaine d’années d’essais de bombes nucléaires à l’air libre, par exemple).
D’ailleurs, la bouteille en plastique diffuse, elle-même, des particules
chimiques trop infimes pour être quantifiée... disent-ils fièrement, en
souriant.
« La présence infime de pesticides, d’engrais chimique ou d’autres choses
horribles dans nos aliments et l’eau, ce n’est pas dangereux pour notre
organisme » disent-ils, sérieusement et en gardant ce sourire
rassurant. Cependant, je mange et je bois (pas d’alcool) plusieurs fois par
jour, donc, après une semaine de : bons repas variés (je dois surveiller mon
cholestérol), d’abricots, des litres d’eau fraîche et de café... ces présences
infimes sont-elles quantifiables en milligramme ?
Vivre sainement, cela relève de l’utopie de nos jours... 