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Commentaire de Christian Labrune

sur 50 ans après la débâcle arabe de 1967 : Les Palestiniens toujours sans un Etat viable


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Christian Labrune Christian Labrune 7 juin 2017 20:57

Aujourd’hui, cinquante ans après une guerre des six jours qui avait si magnifiquement ratatiné des armées arabes dont l’objectif, encore une fois, avait été de foutre à la mer les Israéliens, le Congrès américain et la Knesset célèbrent à peu près en même temps la réunification de Jérusalem, capitale éternelle du peuple juif. A l’ONU, l’ambassadrice américaine ne supporte plus la multiplication, depuis tant d’années, de résolutions anti-israéliennes imbéciles et criminelles.
L’Arabie saoudite et les Emirats, qui ont dû tenir compte de la fermeté du Président américain, sont en train d’isoler le Vilain petit Qatar, pilier du terrorisme islamique.
A Ramallah, le vieux s’était déjà fait très sérieusement remonter les bretelles par Trump. L’Autorité palestinienne sera parvenue, en concurrence avec le Hamas, à faire des Arabes de la région un véritable peuple d’assassins. La Norvège, récemment, mais aussi l’Angleterre et d’autres états probablement, cesseront progressivement de concéder des aides aux Palestiniens. 20% des sommes allouées, soit à peu près 280 millions d’euros servent chaque année à payer des pensions aux familles des tueurs de femmes et d’enfants. Cela n’a que trop duré.
Pendant que, partout, les sciences et les techniques progressent, la principale activité des musulmans, c’est de tuer. Tuer en Europe, tuer en Afghanistan, et aujourd’hui en Iran.

La « cause palestinienne » est une cause perdue. Elle n’intéresse plus les pays du Golfe, elle emmerde les chefs d’état du Maghreb qui ont bêtement fanatisé les populations à propos de cette question et ne savent plus comment s’en débarrasser sans susciter trop de réactions dans un petit peuple rongé plus que jamais par la vérole antisémite.

Les Palestiniens ont de la chance, dans une déconfiture qui était la conséquence inévitable de leur connerie, d’avoir affaire, avec Israël, à un peuple civilisé et pacifique.

Les chiens aboient, la caravane passe. C’est ce qu’on pense inévitablement quand on lit cet article et beaucoup d’autres du même tonneau. Mais ces sortes de productions vont se raréfier, Dieu merci. 


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