@Olivier Perriet
Et d’où vient cet intérêt d’un occidental frustré pour un sujet qu’il ne maîtrise absolument pas ?
Quand les américains ( cf. Nuland ) et les polonais, aidés des nazis ukrainiens de Pravyii Sektor, de Soboda, du bataillon Azov, ont pris le pouvoir par la force lors du putsch du Maïdan à Kiev, en renversant un président démocratiquement élu, ils ont commencé à mettre en pratique leur programme, qui était d’une simplicité biblique : mort aux russes, mort aux juifs, et mort aux homosexuels ! ( le Centre Wiesenthal a des dossiers à la pelle sur cette racaille ).
Les ukrainiens russophones qui commençaient à être pris à partie, se sont enfui en Crimée, en demandant l’aide des marins russes de la base navale de Sébastopol.
Ces derniers ont désarmé les soldats ukrainiens qui étaient en Crimée, sans un seul coup de feu, car ceux-ci ne voulaient surtout pas être confondus avec les nazis qui étaient au pouvoir à Kiev !
D’ailleurs beaucoup se sont installés en Crimée, et même en Russie, sachant le sort qui les attendaient s’ils retournaient en Ukraine !
Ensuite un référendum, surveillé par 52 observateurs internationaux, a obtenu une écrasante majorité pour l’indépendance ( même les tatars musulmans ont voté pour ), et un magnifique feu d’artifice, que j’ai vu sur Internet, a été tiré sur la rade de Sébastopol !
Mais les nazis se rapprochant dangereusement de la Crimée, celle-ci a demandé son rattachement à la Fédération de Russie !
La morale de cette histoire ? Si les nazis n’avaient pas pris le pouvoir à Kiev, la Crimée serait toujours ukrainienne, et la base russe de Sébastopol continuerait à lui payer un loyer !
Désolé d’avoir été un peu long, mais tout ce que j’affirme est vérifiable, car je ne travaille ni pour le Monde, ni pour l’Express !
Un site pourra vous informer : celui de Christelle Néant, journaliste française qui vit à Donetsk sous les obus, et qui nous tient informés de la réalité des combats ! Ce n’est pas une journaliste de salon !
https://dnipress.com/fr/