@Lugsama
Toujours les
mensonges : ’’expropriations télévisuel’’. En quoi le non
renouvellement d’une licence d’émission hertzienne est-elle une
’’expropriation’’ ?
Et ça continue : ’’Quand
Chavez est arrivé au pouvoir le Vénézuela était un pays sur et le
plus riche d’Amérique du Sud’’.
Sûr ? Le taux
d’homicides au Vénézuéla était de 20/100.000 en 1999, il est de
0,6/100.000 actuellement en France !
Riche ? Mais qui
était riche ?
’’Selon les statistiques officielles de l’ONU
que je suis allé rechercher dans le rapport
spécifique de la Commission économique pour l’Amérique
latine et les Caraïbes (CEPAL) de l’ONU du 12 avril 2002, le taux
de pauvreté des Vénézuéliens connut en effet un bond effarant de
1990 à 1999.
Pendant cette décennie – qui
couvre les présidences de Carlos Andrés Pérez puis de ses fugaces
successeurs Octavio Lepage, Ramón José Velásquez et Rafael
Caldera, et qui s’achève par l’accession au pouvoir d’Hugo
Chávez le 2 février 1999 –, le pourcentage de pauvres au
Venezuela bondit de 40,0 % de l’ensemble de la population à…
49,4 %, et cela alors même que le pays est assis sur des réserves
faramineuses d’hydrocarbures.
Le pourcentage de ménages pauvres passa
quant à lui, toujours selon les mêmes statistiques onusiennes, de
34,2 % des ménages à 44,0 %.
Au même moment, le nombre « d’indigents »
– c’est-à-dire de personnes vivant dans la rue ou dans des
bidonvilles avec moins de 1 $ par jour de revenu – explosa : de
1990 à 1999, leur pourcentage passa de 14,6 % à 21,7 % de
la population générale, ce qui – compte tenu de l’accroissement
démographique entretemps – représente une hausse vertigineuse de
quelque + 80 %. [Source pour toutes les données
précédentes :
http://www.eclac.cl/publicaciones/xml/4/7924/Capitulo_I_2001.pdf,
tableau page 12 ]’’
Source du texte :
https://www.upr.fr/actualite/monde/le-venezuela-avant-et-apres-hugo-chavez