Voici ce que dit l’article donné par l’auteur comme référence à la possibilité de détection d’un mensonge. C’est très loin d’être probant, au mieux une vague piste qui pourra être infirmée si on augmente le nombre de sujets, et qui n’est valable QUE pour le test effectué :
’’Objectif :
La tromperie intentionnelle est un acte commun qui a souvent des
implications sociales, juridiques et cliniques préjudiciables. Au
cours de la dernière décennie, les modèles d’activation cérébrale
associés à la tromperie ont été cartographiés avec l’imagerie par
résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), élargissant considérablement
notre compréhension théorique du phénomène. Cependant,
malgré des critiques substantielles, la polygraphie reste la seule
méthode biologique de détection des mensonges en usage pratique
aujourd’hui. Nous
avons mené une étude aveugle, prospective et contrôlée au sein des
sujets pour comparer l’exactitude de l’IRMf et de la polygraphie dans la
détection d’informations dissimulées.
">Les données ont été recueillies entre juillet 2008 et août 2009.
Méthode :
Les participants (N = 28) ont noté secrètement un chiffre entre 3 et 8
sur un bout de papier et ont été interrogés sur le nombre qu’ils ont
écrit lors des séances d’IRMf et de polygraphie consécutives et
contrebalancées. Le paradigme du test de l’information cachée (CIT) a été utilisé pour évoquer des réponses trompeuses sur le nombre caché.
">Les images IRMM prétraitées de chaque participant et les données du
polygraphe à 5 canaux ont été évaluées indépendamment par 3 experts en
IRMf et 3 experts en polygraphie, qui ont déterminé de façon
indépendante le nombre de participants que le participant a notés et
cachés.
Résultats :
En utilisant une régression logistique, nous avons trouvé que les
experts en IRMf étaient 24% plus susceptibles (risque relatif = 1,24, P
<0,001) de détecter le nombre caché que les experts en polygraphie.
">Incidemment, lorsque 2 évaluateurs sur 3 dans chaque modalité se sont
mis d’accord sur un nombre (N = 17), la précision combinée était de
100%.
Conclusions : Ces données justifient une évaluation plus poussée de l’IRMf en tant qu’alternative potentielle à la polygraphie. L’utilisation
séquentielle ou concomitante de la psychophysiologie et de la
neuroimagerie dans la détection des mensonges mérite également une
nouvelle considération.’’
C’est un traduction ’’brute’’ par Google.