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Commentaire de Aristide

sur MOI, je...


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Aristide Aristide 20 mars 2019 05:58

@rosemar

Internet et tout ses mauvais cotés, etc, etc ... Propos incessants qui révèle une obsession assez incompréhensible.

Fergus vous donne le nom du peintre, mais comme dit l’autre, « Si tu donnes un poisson à un homme, il mangera un jour, apprend lui à pêcher il mangera toute sa vie ».

Donc dans ma grande bonté, je vous donne la recette d’internet d’un bon usage sur ce point. Peut être que vous ne connaissez pas « Google Images ». Ce méchant google vous permet de chercher sur internet des images identiques. Quelques secondes et voilà vous tombez sur cela pour le premier tableau.

Bon c’est du British, donc clic droit traduction par le méchant google. Vous obtenez pour notes sur l’histoire de l’oeuvre :

"Signification historique : Le peintre de paysages et de paysages Haynes King (1831-1904) est né à la Barbade. Il voyagea à Londres en 1854 et étudia à Leigh’s Academy, une école d’art réputée. Il commence à exposer des peintures à la Society of British Artists en 1857 et en est élu membre en 1864. Il expose 48 œuvres à la Royal Academy entre 1860 et 1904.

À l’époque, King était réputé pour ses peintures d’intérieurs de chalets dans lesquelles des drames humains sont joués, drames qui peuvent sembler anodins pour nous, mais qui revêtent une importance cruciale pour les participants. Il rend son récit limpide, soulignant son sens avec le titre choisi. En 1874, date de la jalousie et du flirt, son travail a dû paraître un peu démodé - des scènes de genre comme celle-ci étaient populaires depuis le début du 19ème siècle - bien que King le compense par son traitement de peinture « moderne », plus « libre ». Un regard plus attentif sur cette peinture pose des problèmes déroutants. Les deux femmes sont-elles des soeurs ? Certains objets de la pièce aident à raconter l’histoire. Le petit tableau accroché au mur au-dessus de la cheminée est-il un portrait de leur père qui regarde avec désapprobation ce qui se passe ? La femme « jalouse » de gauche, vêtue plus modestement que l’autre, s’appuie contre une table sur laquelle sont placés deux livres, la Bible de famille et le livre de prières ; alors que la femme « coquette » a jeté son tricot sur le sol. Un public de 1874, avec un enseignement classique classique, aurait très bien pu lire la scène en termes classiques,

etc, etc ...."

Un français approximatif, mais tout de même assez facile à lire et surtout une traduction qui marcherait aussi à partir du russe, de l’italien, ....

C’est effrayant de ne voir dans un outil que son coté négatif, vos multiples articles sur internet ne mettent jamais en exergue la vraie révolution sur la mise a disposition à quiconque s’intéresse un peu une source considérable et infinie d’informations .


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