Les commentaires tournent autour du capitalisme et du néo libéralisme : dans quelle mesure l’Etat intervient dans le système capitaliste, libéral, néolibéral etc. Le débat est certes très intéressant, mais, en fait, cela ne fait pas vraiment avancer le schmilblick car on sait que quelle que soit la nuance, le capitalisme est la cause du réchauffement climatique. La crise écologique est une crise du capitalisme. Tout comme les crises, sociale, solidaire, culturelle ou démocratique. Donc, comme on sait que ça n’est pas possible que ce qui a semé tous les dégâts les répare, il faut inventer un nouveau système économique avec toute la pensée philosophique qui le sous-tend.
Je n’ai aucune bille pour l’inventer, pour sortir du bocal comme je l’ai dit dans un précédent article. Néanmoins, je pose quelques bases :
— Changer les critères qui définissent la richesse d’un pays en y incluant les notions de développement perdurable, d’état des ressources naturelles, de solidarité,d’humanitaire, de culture, de bien-être et de démocratie.
— Responsabiliser le droit à la propriété sur les notions sociales et écologiques
— Limiter les profits financier
— Limiter la création de la monnaie et de l’usure. Nationaliser toutes les banques
— Privilégier l’être à l’avoir
— Établir une économie écologique, sociale, solidaire et démocratique
— Limiter la consommation mondiale à une planète / an
Il parait qu’aucun système économique n’a été inventé depuis celui du néolibéralisme. Et bien, que les économistes et philosophes se mettent au travail avant qu’il ne soit trop tard !