On
parle beaucoup des services publics ces temps-ci. Ici nous avons une
illustration, et même plus, du privé : toujours plus, conditionnement de l’homme
dans les plastiques ou les barquettes, à toujours plus consommer.
Monde
délirant de pubs délirantes ; la com, le marketing obscènisé, le management
idem, etc. le mensonge en belles images ; le malabar, le carambar, une canette, x contenants et
autres diminuant insidieusement en volume, augmentant silencieusement en prix, année après année etc. Vers où ? Un plus ? Un
anéantissement, une absurdité planétaire.
Ô monde merveilleux vers lequel tu
nous achemines, Dieu argent et pouvoir, Janus à deux têtes, l’une publique,
surtout gouvernementale, l’autre privée.
N’attendez
que de vous-mêmes, au fond de votre humanité qui, chez encore quelques-uns,
disons, persiste et signe à vouloir respirer ou, à ne pas disparaître. Cherchez
à la réveiller autour.
Ensuite
de préférence, découle l’organisation sociale (bien qu’interactifs bien sûr).
Charité bien ordonnée etc.… d’une part, Le pouvoir et l’argent corrompant,
quelque révolutionnaire viendrait à la tête, à de rares exceptions près, il
excellerait au bout d’un moment dans l’art prisé par maqueron, europe et
consorts : nous B*****, et encore je suis poli.