@rosemar. Fraudeuse institutionnelle, et par conséquent adulée par les militantes misandres victimaires telles que Michèle Dayras, vierge et martyre de son état, Françoise Héritier a réinventé l’hérédité des caractères acquis : selon elle, le dimorphisme dans l’espèce humaine serait dû à un horrible complot masculiniste et patriarcal ; les hommes des cavernes auraient affamé les femmes des cavernes, afin de les rendre plus petites...
Si Sophie LC déclare « Moi, en dessous d’un mètre quatre-vingt, je regarde pas ! », c’est encore la preuve d’un horrible complot masculiniste et patriarcal.
Du reste, s’il y a encore et toujours de fortes variations climatiques en Australie, dont des sécheresses extrêmes lors d’oscillations dipôlaires positives de l’Océan Indien (mer de Timor fortement refroidie), c’est encore la preuve d’un horrible complot climato-sceptique... Rosemar scribit.
Sur la fin d’un ouvrage passionnant, avec des découvertes presque à chaque ligne, ou au moins à chaque paragraphe, Aux origines de la sexualité, sous la direction de Pierre-Henri Gouyon, éditeur Fayard, voici un chapitre dogmatique et militant, d’une totale nullité scientifique, qui nous prétend que le matriarcat n’a jamais existé, que toute la préhistoire a été à domination patriarcale... Coup d’oeil à l’auteur, ah oui, c’est Françoise Héritier.