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Commentaire de infraçon

sur Comment une liberté est devenue prohibée !


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infraçon infraçon 14 juillet 2020 16:37

Bonjour Houakel,

(désolé de contrarier JL en persévérant sur cette cogitation auto-centrée) pour rester dans la légèreté sur ce thème (n’abordons pas les recherches bibliographiques, la démographie ou le darwinisme), il manque quelques approches (il y en a d’autres) pour « justifier » le refus de rencontres qualifiées de tromperies sans parler d’héritage religieux ou culturel :

_l’une, la crainte de la comparaison. « il/elle va trouver mieux ailleurs, il/elle va pouvoir juger et se lasser de mes faibles/excessives prestations/qualités, etc »

_une autre, la peur de divulgation de l’intimité. On ne tient pas à ce que ce qu’on a révélé de plus intime soit colporté.

_une autre encore, « je »poireaute« pendant ce temps là ». C’est le cas du/de la conjoint(e) qui n’a pas autant de chance à rencontrer des partenaires attirants, ou qui ne veut pas. C’est aussi le cas lorsqu’il n’y a pas synchronisation des « visites » extérieures nombreuses : le couple fini par ne plus se rencontrer.

_une autre toujours, le refus de risquer des MST ramenées dans le couple.

_au passage, au sujet des enfants, quand on veut les éduquer correctement ne pas oublier que ça prend du temps d’éducation, d’écoute, de recherche pédagogique, de cerveau disponible. Donc va y avoir concurrence.

_enfin une dernière pour la route, bien qu’elle ne tienne pas la route justement : le chantage de la personne rencontrée, car si le couple communique le chantage de divulgation tombe.

Par contre, c’est aussi lorsque l’un/l’une est fatigué, exténué, « accidenté » que prend sens la liberté de rencontre laissée à l’autre, en concertation (encore faut-il l’accepter, c’est à dire en pleine confiance à ne pas affronter les cas précédents). Surtout si le/la partenaire est un(e) très gros(se) consommateur(trice), il parait au dire des psy que ceux-ci auraient eu des problèmes dans leur parcours de vie. Je crois plutôt que c’est un peu comme les ascètes, les petits mangeurs et les gros mangeurs : des « pratiquants » adaptés à leur besoin/capacité. Mais effectivement il y a sans doute aussi les anorexiques, les boulimiques, etc du sexe.


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