@azyx1986
C’est 367 et non 326, ça me donne un interval de confiance de 2,25.
C’était pour me faire une idée du port du masque.
Sur les 367 j’en ai vu 3 sans masque.
J’écris 98% alors que j’aurais pu écrire 99,18%. Chiffre a la précision un peu ridicule par rapport à la question : les gens portent ils leur masque ?
Les 367 sont dus au fait que j’allais d’un point A mon domicile au point B le magasin, j’ai profité du fait que j’avais un chauffeur donc l’esprit libre pour compter.
Avec un échantillon de 10000 j’aurais eu un interval de confiance de 0,44 a mettre en parallèle avec la question : les gens portent ils leur masque ?
Vous n’aimez pas les stats épidémiologiques, moi je les aime bien car elles se protègent au max des biais.
En vous lisant avec du multiparamètres, pas épidémiologique du tout, trop piégeux, trop de risques de confusion.

32 paramètres ça n’est arrivé une fois, sur un diagnostic vibratoire sur une turbine. En 3 dimensions avec déphasage. Plusieurs dimensions temps avec l’inertie avec variation de puissance. Une anomalie qui paraissait aléatoire. 
Parfois vicieux pour trouver, le plus invrésemblable 2 jours de grève 25 ans plus tôt et un dépoussiérage.
Ca rend assez vite bayésien, aucune certitude.

R j’y suis venu parce qu’on m’avais demandé de mettre ce que je savais avant de partir à la retraite.
230 pages mais ma méthode de diagnostiquer il fallait un autre language, R allait. Avec lui 10 axes déphasés il le bouffe. Un mélange de stats déterministes et bayésiennes. Du curseur de Turing sans problème.
Un programme c’est des instructions et surtout des explications du pourquoi des instructions.
On l’emploie et celui qui veut comprendre le pourquoi il a des explications.
A 17 ans j’ai eu droit à mon prof pour le calcul matriciel pour pouvoir expliquer, en 77 j’ai dû apprendre le Fortran, toujours une histoire d’explication.
Diagnostiquer m’est facile, le problème c’est pour expliquer ce que je visualise, chaque fois il faut employer un language spécifique pour expliquer, donc R.
Ouais R c’est d’abord un language avant un outil.
Sacrée boite à outils quand même, il avale tout. 
J’ai un programme philogénique qui date de mon étudiante en médecine. La textométrie il bouffe, les stats bien sûr.
On lui met 5-10 axes déphasés, il bouffe et donne des résultats. Ce que je visualisais et ne pouvais pas montrer ou expliquer, lui il le montre.
Quand je cherchais mon traducteur, je suis allé aux R & D il y avait assez de chercheurs et de thésards, il me fallait de quoi faire un diagramme multidimensionnel avec des curseurs de Turing comme axes avec des bases différentes en fonction de la pondération, on m’a répondu majoritairement R.
Savoir c’est bien, pouvoir partager c’est mieux.
R permet le partage.