(Nota Bene 2°) :
Inutile de rappeler maintenant toute la litanie des incohérences gouvernementales subies par les Français durant cette crise dite « sanitaire » : combien de tomes faudra-t-il encore ajouter au premier ouvrage nommé
«
»Y-A-T’IL UNE ERREUR QU’ILS N’AIENT PAS COMMISE ?" ...
Parmi les dernières incohérences infligées récemmenent aux Français la plus fautive a été introduite par cette sottise redoublée :
— d’une part, un chef de toutes les armées (ayant déjà décrété un état de guerre !) et qui, décrétant (sans l’avoir dûment démontrée) l’imminence d’un danger, intime à ses forces combattantes l’injonction de cesser de se poser des questions ! (Nos généraux et leurs troupes seraient-ils entraînés à ne combattre que par réflexes non réfléchis ?)
— d’autre part, cette stupide réflexion du Chef qui nous a catéchisé qu’il ne saurait exister de liberté sans contraintes ! (à croire que les dictionnaires ne servent à rien qui définissent contrainte par ’forcer quelqu’un à agir contre sa volonté
’ — et a croire aussi que ce jupiter n’a aucune connaissance du passage de l’essai ’du Contrat socail’, incontournable dans la culture française, qui définit justement ce fameux Contrat social ) !
— mais la pire et la plus impardonable des incohérence et celle qui conduit maintenant des marées humaines de ’gaulois réfractaires’ à déferler tous les samedis dans les rues :
le gouvernement se permet de bafouer les fondements mêmes du fragile stratagème de légitimation qui l’a fait roi, et dont il viole la loi stipulant que doivent être respectés des consentements libres et éclairés !
( sans parler de l’incohérence, maintenant banalisée en France, d’une absence totale de référendums, alors qu’un des piliers censés garantir le caractère démocratique de notre Constitution nationale en vigueur est basé sur une technique de référendum ...)