@Jacques-Robert SIMON
Les efforts consistent simplement à rester du
bon côté :
« Réveille-toi, réveille-toi ! lève-toi,
Jérusalem, Qui as bu de la main de l’Éternel la coupe de sa colère, Qui as bu,
sucé jusqu’à la lie la coupe d’étourdissement !
Il n’y en a aucun pour la conduire De tous
les fils qu’elle a enfantés, Il n’y en a aucun pour la prendre par la main De
tous les fils qu’elle a élevés.
Ces deux choses te sont arrivées : -Qui te
plaindra ? -Le ravage et la ruine, la famine et l’épée. -Qui suis-je pour te
consoler ? -
Tes fils en défaillance gisaient à tous les
coins de rues, Comme le cerf dans un filet, Chargés de la colère de l’Éternel,
Des menaces de ton Dieu.
C’est pourquoi, écoute ceci, malheureuse,
Ivre, mais non de vin !
Ainsi parle ton Seigneur, l’Éternel, Ton
Dieu, qui défend son peuple : Voici, je prends de ta main la coupe
d’étourdissement, La coupe de ma colère ; Tu ne la boiras plus !
Je la mettrai dans la main de tes
oppresseurs, Qui te disaient : Courbe-toi, et nous passerons ! Tu faisais alors
de ton dos comme une terre, Comme une rue pour les passants. » (Esaïe 51
:15-23)
« Réveille-toi ! réveille-toi ! revêts ta
parure, Sion ! Revêts tes habits de fête, Jérusalem, ville sainte ! Car il
n’entrera plus chez toi ni incirconcis ni impur.
Secoue ta poussière, lève-toi, Mets-toi sur
ton séant, Jérusalem ! Détache les liens de ton cou, Captive, fille de Sion !
Car ainsi parle l’Éternel : C’est gratuitement
que vous avez été vendus, Et ce n’est pas à prix d’argent que vous serez
rachetés.
Car ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Jadis
mon peuple descendit en Égypte, pour y séjourner ; Puis l’Assyrien l’opprima
sans cause.
Et maintenant, qu’ai-je à faire, dit
l’Éternel, Quand mon peuple a été gratuitement enlevé ? Ses tyrans poussent des
cris, dit l’Éternel, Et toute la durée du jour mon nom est outragé.
C’est pourquoi mon peuple connaîtra mon nom ;
C’est pourquoi il saura, en ce jour, Que c’est moi qui parle : me voici ! (Esaïe
52 :1-6)