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Commentaire de Sandro Ferretti

sur La gueule de Charles Bronson


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Sandro Ferretti Sandro Ferretti 3 novembre 2021 14:53

@S.B.
Bonjour,
Évidement, vous avez raison.
Un seul baril de Niels Arestrups, même muet, vaut 30 barils du bavard et efféminé Pierre Niney.S’ils pouvaient revenir, un Donnadieu ou un Daniel Duval (RIP) pulvérisaient en 5 secondes des heures de Dujardin ou de Canet.

Reste que Bronson m’a toujours laissé froid, sans doute parce qu’il n’a quasi jamais joué dans de bons films, et qu’il n’a jamais su (pu ?) sortir des rôles de castagne pour bac moins 12, qui étaient sa « zone de confort ».
Un Clint Eastwood, à l’opposé, a su magnifier ses rôles, et passer de l’autre coté de la caméra pour nos offrir des bijoux comme Mystic River, Million Dollar Baby, Minuit dans le jardin du bien et du mal, etc.
Il est vrai que « le Clint », ce n’est pas le même niveau « d’équipement cérébral », comme disait l’autre, que Bronson.

Ps : j’ai eu la chance de voir hier soir « Cry Macho » en petit comité, çà le fait encore et toujours. A 91 ans, ça laisse rêveur.


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