@pemile
copié-collé : « J’ai bien compris que ça te pose problème et que tu es quand même bien obligé de reconnaître la validité de la médecine légale ! »
Et non, vous avez mal compris, très mal compris d’ailleurs !.
Je ne vais pas répéter ce que j’ai déjà écrit sur la médecine légale, je vais copier-coller ! N’est-ce pas pemile. Vous tournez en boucle, comme la virologie !
... « Oui la caractérisation génétique est au point. Mais avec la recherche virale les choses ne se passent pas de la même façon que lors du séquençage génétique d’une personne (par exemple).
Le séquençage génétique est fait à partir d’un « prélèvement » dont on connait la source exacte. Si c’est l’une de vos cellules qui est examinée, pemile, alors nous saurons que ce génome est le vôtre. Ensuite, pour toute recherche ultérieure, il sera facile de s’appuyer sur ce génome.
Pour les virus c’est le contraire qui se passe. Il faut en avoir « conscience ». Ce sont des « fragments » d’ADN ou d’ARN qui sont découverts dans la culture cellulaire observée. Et ces fragments « nul ne sait » d’où ils proviennent. Ils peuvent très bien, et c’est la probabilité la plus grande, provenir de la lyse des cellules en culture, depuis des exosomes par exemple.
Et comme les virologues ne possèdent « que » des fragments, ils font « l’hypothèse » que ceux-ci proviennent de « matériel viral ». Après cette hypothèse, ils testent des amorces correspondant à des segments génétiques de virus précédemment identifiés qui permettent de découvrir les fragments dans la culture. Ceci serait « correct » si les génomes de ces virus utilisés n’avaient pas été construits, eux aussi, par « hypothèse ». C’est une »pétition de principe« !
C’est l’inverse de l’exemple que vous donnez, celui de la médecine légale. Le génome est parfaitement identifié à partir de cellules dont on sait très exactement de qui elles viennent. Pour les virus, ceci n’est pas vrai parce que la base de données des génomes est une base construite artificiellement parce que ne correspondant à aucune réalité biologique, contrairement aux cellules qui auront pu être prélevées sur vous. C’est l’immense faille de la virologie qui utilise un « raisonnement circulaire » pour parvenir à ses fins.
Lors de l’identification génétique d’un criminel, on part effectivement d’un fragment que l’on cherche à faire correspondre à un « génome » précédemment identifié. Mais « identifié » de source sure ! Sans aucune contestation possible.
Pour les « virus » il s’agit de faire l’inverse : partir de »fragments" pour reconstituer « artificiellement » un génome ! J’espère que vous mesurez la supercherie !
C’est sans doute trop compliqué pour vous. Le bac à sable vous attend.