Tout d’abord, je remercie l’auteur pour la série d’articles qu’il vient d’écrire, pour sa ténacité et son courage d’expliquer simplement ce qui est maintenu volontairement dans la confusion.Un petit bol d’air frais, comme ces articles, ne font pas de mal.

L’immigration, depuis le milieu du 19 ème siècle , est constituée de travailleurs pauvres, venant tenter de gagner de l’argent, ou de profiter d’un meilleur niveau de vie, avant, pour beaucoup, de repartir « profiter » d’une éventuelle « Réussite » dans leur pays d’origine.

Cette immigration est devenue partie intégrante du système économique mondial.

Ce sont les milieux économiques financiers, qui particulièrement dans la sphère occidentale veulent cette immigration de masse.( Par exemple : 1 million d’arrivée , l’année dernière en Grande Bretagne !)

Ce phénomène est imposé par un prétendu discours humanitaire permanent ( et beaucoup de non-dit...), orchestré par l’immense puissance des grands médias, presque tous propriété de milliardaires.

En soutenant à outrance cet état de fait, la gauche, défend depuis plusieurs décennies, une partie du gagne pain de son meilleur ennemie, le Capitalisme.

En réaction, se sont constitué des partis dits « Populistes »opposés à l’immigration, dénoncés par la gauche, comme racistes et extrémistes de droite, mais qui ne sont 

que des partis opportunistes, de réponse au problème.Ces partis sont ensuite instrumentalisés.

Le choix des gauches en France, face à ce problème, n’est pas le même partout en Europe, rappelons , que la Danoise Mette Fredericksen au Danemark , 1 er ministre et L’allemande Sarah wagenknecht fondatrice du Bundniss ( Parti) du même nom dénoncent l’immigration de masse.

Maintenant , ce que dit l’auteur sur la position de Marx sur l’immigration de l’époque est évident. Marx aurait évidemment attaqué avec rage , les positions de la gauche actuelle .Ce point de vue Marxiste, me semble indiscutable.

J’espère ne pas avoir trahi la pensée de l’auteur et qu’il ne m’en voudra pas pour ces ( pas tant que ça) quelques lignes.