@Francis, agnotologue
Les virus « expliquent » tout. Ils sont à l’origine de « pandémies », parfaitement invisibles, mais l’OMS, et tous les experts réunis, parviennent à identifier ces pandémies. Un « virus » qui contamine la planète entière. De quoi frémir !
Extrait : « ... Les surinfections bactériennes surviennent habituellement 4 à 7 jours après les premiers symptômes grippaux et peuvent persister pendant plusieurs semaines. Elles touchent environ un tiers des patients grippés qui ont été hospitalisés en soins intensifs. Elles ont le plus souvent pour origine une surinfection par Streptococcus pneumoniae (le pneumocoque), Staphylococcus aureuset Haemophilus influenzae. S. pneumoniae, dont il existe plus de 90 sérotypes, représente la première cause de pneumonies bactériennes chez l’homme. Des examens post-mortem ont ainsi indiqué que la majorité des décès survenus lors de la grippe espagnole avait pour origine des surinfections bactériennes, notamment due au pneumocoque. L’infection secondaire par les bactéries se traduit par une exacerbation de l’inflammation pulmonaire (pneumonie) et par un déclin des fonctions respiratoires. Les bactéries à tropisme respiratoire peuvent secondairement disséminer dans l’organisme, pouvant entraîner possiblement une septicémie. Les mécanismes de cet effet additif, voire synergique, entre le virus et la bactérie sur la symptomatologie sont encore peu compris. »...
Oui, les bactéries et les toxines bactériennes sont dangereuses pour l’organisme humain. Quant aux « virus » et bien, comme indiqué, on cherche toujours ! Le foutage de gueule est total.
Je vais tenté prochainement de présenter un article sur « l’hydroxychloroquine » et comment Didier Raoult avait raison mais sans avoir compris les mécanismes biologiques en jeu. Et ceci parce qu’il pense « virus » et qu’il réfléchit « virus ». Impossible pour lui de sortir de ce paradigme.