@pemile
Pour vous préciser quand même, ainsi qu’aux autres lecteurs, que les protéines du VIH, (VIH-1 ou VIH-2) sont des protéines « synthétiques », comme l’est la « protéine spike ». Ce sont des protéines « fabriquées » par la bioinformatique. C’est dément, mais c’est ça la réalité ! Mais les populations ne le savent pas. Elles ne savent pas que ces protéines (spike ou VIH-1 ou VIH-2 -gp41, gp120, p24-) sont des protéines de synthèse !
La production d’anticorps est une réaction normale du système immunitaire à tout antigène perçu comme « étranger ». Il n’y a rien d’étonnant à ce qu’on retrouve des anticorps chez quelqu’un exposé à des protéines de « synthèse », dites « virales », sans que cela implique l’existence d’un « virus réplicatif ».
« Toute protéine du « non-soi », introduite dans la circulation sanguine, provoque des anticorps. ». Ce principe universel d’immunologie est oublié et négligé quand on interprète les tests VIH. Si une personne produit des anticorps contre des protéines recombinantes injectées ou exposées via d’autres voies, cela n’implique pas qu’un virus réplicatif a envahi l’organisme. Ainsi, si on injecte de l’ovalbumine (protéine de blanc d’œuf) à une souris : elle va produire des anticorps. On ne conclut pas à une « infection à l’ovalbumine » ! Ce qui veut dire que les anticorps attribués spécifiquement au VIH peuvent parfaitement bien être des anticorps qui réagissent à d’autres protéines (comme c’est le cas en situation de maladies auto-immunes).
La production d’anticorps est une réaction normale à toute exposition à une protéine étrangère. Ce n’est pas une preuve en soi d’une infection active, encore moins d’un virus pathogène. Ce qui est interprété, ce n’est pas la réaction elle-même, mais ce qu’on suppose qu’elle signifie.
N’est-ce pas pemile !