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Commentaire de Francis, agnotologue

sur IA (Intelligence Artificielle) / Intelligence Humaine / Intelligence Biologique ou de la Nature ?


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Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 mai 09:46

@Francis, agnotologue
 

Une erreur d’aiguillage à l’échelle mondiale

Dans le cas du soi-disant nouveau coronavirus chinois 2019 (désormais rebaptisé 2019-nCoV), ce processus de consensus n’a curieusement pris que quelques clics de souris. Cela n’a rien d’étonnant quand on sait que des constituants sont effectivement extraits de tissus morts et qu’ils se retrouvent ensuite dans une base de données. Mais ce sont ces composants, qui peuvent provenir de nombreux organismes différents, qui sont finalement assemblés en un modèle de virus artificiel.

Le processus est le suivant : à partir d’une base de données contenant les structures moléculaires des composants de l’acide nucléique - il convient de souligner que ces composants proviennent déjà de tissus et de cellules morts qui ont été manipulés biochimiquement - un certain nombre de ces composants sont sélectionnés et utilisés pour construire un brin d’ADN beaucoup plus long, dit « complet », d’un nouveau virus.

Il y a beaucoup à dire sur cette « technique », mais l’idée de base est que ces manipulations, appelées “alignements”, ne correspondent tout simplement à aucun matériel génétique « complet » ou connu d’un virus. Pourtant, dans la littérature, ce matériel est appelé « génome ». Par commodité, ils ignorent le fait qu’au cours de la construction d’un « brin d’ADN viral » - j’entends cela de manière totalement conceptuelle, d’ailleurs, dans les faits, rien n’est “construit” - certaines séquences considérées comme « inadaptées » sont lissées et des séquences manquantes (du moins : manquantes dans le modèle conceptuel que l’on maintient) sont ajoutées.

C’est ainsi que l’on « invente » une séquence génétique d’ADN qui n’existe pas et qui n’a même jamais été découverte dans son ensemble. Ces « lissages » et ces ajouts forment, avec de courts morceaux qui correspondent au modèle conceptuel, un ensemble plus vaste qui est alors appelé « un brin d’ADN viral ». Encore une fois : en réalité, ce brin n’existe même pas. Il n’existe que dans l’esprit des « scientifiques ».

Un exemple ? Si l’on étudie la composition conceptuelle du brin d’ADN du « virus » de la rougeole et qu’on la compare aux courts fragments de molécules des cellules réellement disponibles, plus de la moitié des particules de molécules qui devraient constituer ce virus manquent ! Certaines d’entre elles ont même été ajoutées artificiellement par voie biochimique, tandis que les autres sont tout simplement... inventées (3).

Je n’invente rien. C’est la réalité, mais comme personne n’ose soupçonner qu’ils travaillent de manière aussi amateur, personne ne pense à vérifier correctement, et l’illusion persiste.

Les scientifiques chinois qui affirment ainsi que la majorité des acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau China Corona Virus 2019 a été « séquencé » (4) proviennent en grande partie de l’ADN de serpents venimeux sont, comme nous tous, victimes d’une erreur d’aiguillage désormais mondiale. Plus les brins d’ADN « viraux » sont inventés de la manière décrite précédemment, plus un nouveau “virus” ressemble à tout ce qui a été « établi » auparavant.

C’est ainsi que l’on « invente » une séquence génétique d’ADN qui n’existe pas et qui n’a même jamais été découverte dans son ensemble. Ces « lissages » et ces ajouts forment, avec de courts morceaux qui correspondent au modèle conceptuel, un ensemble plus vaste qui est alors appelé « un brin d’ADN viral ». Encore une fois : en réalité, ce brin n’existe même pas. Il n’existe que dans l’esprit des « scientifiques ».

Un exemple ? Si l’on étudie la composition conceptuelle du brin d’ADN du « virus » de la rougeole et qu’on la compare aux courts fragments de molécules des cellules réellement disponibles, plus de la moitié des particules de molécules qui devraient constituer ce virus manquent ! Certaines d’entre elles ont même été ajoutées artificiellement par voie biochimique, tandis que les autres sont tout simplement... inventées (3).

Je n’invente rien. C’est la réalité, mais comme personne n’ose soupçonner qu’ils travaillent de manière aussi amateur, personne ne pense à vérifier correctement, et l’illusion persiste.

Les scientifiques chinois qui affirment ainsi que la majorité des acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau China Corona Virus 2019 a été « séquencé » (4) proviennent en grande partie de l’ADN de serpents venimeux sont, comme nous tous, victimes d’une erreur d’aiguillage désormais mondiale. Plus les brins d’ADN « viraux » sont inventés de la manière décrite précédemment, plus un nouveau “virus” ressemble à tout ce qui a été « établi » auparavant. »

 Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 


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