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Commentaire de L’apostilleur

sur Mathieu Kassovitz ne veut plus de FRANÇAIS DE SOUCHE


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L'apostilleur L’apostilleur 29 mai 09:28

Avec sa sortie polémique Kassowitz revendique encore (**) sa différence produit de son histoire personnelle difficile. Ses coreligionnaires ont revendiqué leur identité pendant des siècles aussi en détestant leurs pays hôtes (*) et leur ciment chrétien. 

Des juifs célèbres ont trouvé dans le terreau de leur discrimination matière à des révolutions moins intéressés par des régimes égalitaires qui les auraient dissous aussi, que par l’abolition des environnements qu’ils subissaient. 

Le christianisme, ennemi désigné par la culture juive pendant des siècles (*), a été le pilier des grandes nations de l’Occident qui ont forgé leur culture avec.

Avec sa déclaration, Kassowitz témoigne de son refoulement, de sa non appartenance à la communauté des « français de souche » qu’il qualifie de « fin de race », et d’une détestation envers la population de la nation qui l’a nourri.

Il nous rappelle ici Anne Sinclair qui disait « ne pas pouvoir aimer un non-juif ».

Kassovitz s’était déjà illustré avec sa participation dans le film anticatholique « Amen » (**) produit par Berel Langman (Claude Berri) d’une famille juive ashkénaze polonaise, Jean-Claude Grumberg coscénariste, père déporté à Auschwitz, Matthieu Kassovitz fils d’un juif qui a fui le ghetto de Budapest… 

 

(*) https://onenpensequoi.over-blog.com/2023/12/1/4-aux-sources-juives-de-l-antisemitisme.html

(**) https://onenpensequoi.over-blog.com/2021/01/archives-du-vatican.pie-xii-pape-d-hitler-rempart-anticommuniste-ou-tete-de-turc-de-l-antichristianisme.html 


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