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Accueil du site > Culture & Loisirs > Deux jeunes musiciens à l’honneur : Héloïse Houze et Basile (...)

Deux jeunes musiciens à l’honneur : Héloïse Houze et Basile Maurel...

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Ils sont jeunes, remplis d'enthousiasme, ce sont des musiciens en formation, et ils ont donné un magnifique récital au Carré d'Art dans le cadre des Jeudis de Nîmes.

 

Basile Maurel a fait une démonstration époustouflante de son talent au cours d'un récital de piano.

D'abord, il interprète avec brio le prélude et la fugue en ré majeur BWV 874 Livre II de Bach.

 

On est subjugué par la virtuosité de ce très jeune musicien : le piano claironne dans une mélodie dansante, puis la musique devient plus lente, s'apaise, s'adoucit et nous fait rêver.

Quelle maîtrise dans l'interprétation !

Basile Maurel joue sans partition, de mémoire...

 

Puis, on découvre les Variations sérieuses op. 54 de Mendelssohn. La musique d'abord assez lente s'accélère dans un vertige de notes... on est emporté dans un vibrato et un tourbillon de notes...

Le rythme s'apaise à nouveau et nous berce de son harmonie.

 

L'extrait suivant nous transporte à nouveau dans une cascade, un torrent de notes : c'est époustouflant ! Il s'agit de l'étude n°4 op. 10 de Chopin...

 

Ce jeune garçon est impressionnant dans la maîtrise de son art, dans sa concentration, et ses interprétations étourdissantes...

 

Puis, c'est Héloïse Houze qui nous présente un extrait de Roxanna Panufnik, compositrice britannique née à Londres le 24 avril 1968.

La musicienne joue avec son alto une mélodie aux airs un peu tziganes, mélancolique et douce...

On est envoûté par cette musique au rythme empli de douceur...

 

Enfin, les deux jeunes artistes interprètent ensemble un concerto pour alto de Béla Bartok.

La musique est d'abord ponctuée par quelques notes graves au piano, un air lancinant, sombre, puis on écoute avec ravissement un ruissellement de notes au piano... l'alto crisse, pleure, puis, le rythme devient dansant, tourbillonnant...

Magie de la musique qui nous emporte au bord du rêve !

Bravo à ces deux musiciens, jeunes diplômés du conservatoire de Nîmes, dont on a apprécié tout le talent et toute la modestie.

 

Le blog :

http://rosemar.over-blog.com/2019/09/deux-jeunes-musiciens-a-l-honneur-heloise-houze-et-basile-maurel.html

 

Vidéos :

 


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23 réactions à cet article    


  • Séraphin Lampion Séraphin Lampion 11 octobre 2019 15:04

    « Basile Maurel joue sans partition, de mémoire...  »

    une partition, c’est comme un préservatif : c’est plus prudent avec, mais c’est quand même mieux sans ...


    • Fergus Fergus 12 octobre 2019 11:59

      Bonjour, Rosemar

      Je ne doute pas que ces deux interprètes aient fourni une prestation de qualité. Des rtistes de ce niveau, j’en vois également de temps en temps. Mais encore une fois, vous cédez à votre goût immodéré pour les superlatifs

      « Epoustouflant », dites-vous à deux reprises. Etonnant car, personnellement, je n’ai jamais osé utiliser ce mot pour qualifier les prestations de pianistes et de violonistes entendus en concert dans les plus grandes salles d’Europe. Parmi eux : Martha Arguerich, Joshua Bell, Renaud Capuçon, René Dumont, Leonids Kavakos, Gidon Kremer, Anne-Sophie Mutter ou Krystof Zimerman, pour ne citer que ceux-là.

      Or, tous les artistes qui se produisent à Nîmes — et dans tous les genres de spectacle — sont « merveilleux », « extraordinaires », « magnifiques ». Jamais vous n’êtes déçue, jamais vous ne percevez le moindre manque d’implication dans le jeu, jamais vous n’êtes témoin du plus petit incident. Tout est toujours parfait ! 

      Sincèrement, je vous envie car je ne parviens quasiment jamais à cette extase, manifestement si communicative au Carré d’Art de Nîmes. smiley

      Plus sérieusement, je vous invite à vous questionner sur ceci, et  pourquoi pas ?  à soumettre la question à vos élèves : L’usage compulsif des superlatifs sert-il l’art et les artistes  ?  smiley


      Je vous souhaite un excellent week-end.


      • Séraphin Lampion Séraphin Lampion 12 octobre 2019 14:09

        @Fergus

        Bonjour Fergus

        Tout se passe comme si Rosemar utilisait un générateur de « parler creux » aléatoire.qu’elle colle sur n’importe quoi, comme un vernis transparent, mais des fois elle pousse un peu le bouchon comme dans ce passage :

        « D’abord, il interprète avec brio le prélude et la fugue en ré majeur BWV 874 Livre II de Bach.On est subjugué par la virtuosité de ce très jeune musicien : le piano claironne dans une mélodie dansante,../.. »

        Là, faut oser : un piano qui claironne, moi je veux bien, mais ça ne serait pas très adapté à Bach qui n’est pas connu pour ses options militaristes, et pour ce qui est de danser sur le dit prélude, vous m’en direz des nouvelles.

        En tous cas, les effets produits pas ces rencontres improbables de signifiants compatibles syntaxiquement supportant de signifiés incompatible sémantiquement provoque toujours chez moi une hilarité qui me met de bonne humeur, et c’est pour ça que je lis toujours ses articles. Je me demande même si, après tout, ce n’est pas volontaire, donc très fort ?

        Passez un bon week-end rosemarien à vous tenir les côtes. 



      • Fergus Fergus 12 octobre 2019 16:42

        Bonjour, Séraphin Lampion

        « pour ce qui est de danser sur le dit prélude, vous m’en direz des nouvelles »

        Effectivement, rien à voir avec les allemandes, bourrées, menuets et autres sarabandes que l’on peut entendre, notamment dans ses suites pour orchestre.

        « Je me demande même si, après tout, ce n’est pas volontaire, donc très fort ? »

        C’est sûrement cela, la bonne explication. smiley

        Excellent week-end également.
         


      • rosemar rosemar 13 octobre 2019 13:22

        @Fergus

        Vous êtes donc incapable de vous émerveiller ? C’est triste pour vous !


      • rosemar rosemar 13 octobre 2019 13:25

        @Séraphin Lampion

        Enfin, vous n’avez pas assisté à ce concert... de jeunes artistes pleins de talent... cela mérite d’être souligné...

        A bas les grincheux associés !


      • JC_Lavau JC_Lavau 13 octobre 2019 13:57

        @rosemar. Je garde beaucoup d’affection pour le dernier concerto que Bartók Béla ait pu achever — à l’orchestration près, dont la sténo fut décodée et couchée par Serly

        Tibor.
        Quel dommage que ce soit Rosemar qui en rende compte, rosemardiquement capable de changer tout or en plomb !
        Cette partition est du nombre de tous les ouvrages qui m’ont été volés par la kleptomane qui fut autrefois mon épouse. J’espère trouver un jour cette partition en pdf imprimable. Je crains que ce ne soit qu’en réduction piano.


      • JC_Lavau JC_Lavau 13 octobre 2019 14:21

        @JC_Lavau. Enfin merci d’avoir mis le lien sur l’excellente interprétation de Ren Martin-Doike et Amy Yang.


      • JC_Lavau JC_Lavau 13 octobre 2019 14:36

        @JC_Lavau. Le seul pdf gratuit est hélas le manuscript. On peut rêver plus lisible.
        Partition synchronisée avec le jeu à
        https://www.youtube.com/watch?v=lONF5wqDcEs


      • Séraphin Lampion Séraphin Lampion 13 octobre 2019 15:31

        @JC_Lavau
         

        Essayez ceci, ou cela, ou encore ça.

        à part ça, la partition qui apparaît dans la video de youtube n’a rien de « manuscrit »
        le cadrage est mauvais, donc difficile à suivre, mais c’est une partition imprimée
        une partition manuscrite ressemblerait à celle-ci (travail d’un copiste appliqué) ou à

        celle-là (autographe)  : rien à voir.


      • JC_Lavau JC_Lavau 13 octobre 2019 18:28

        @Séraphin Lampion. Merci. Ton second lien pointe sur la partition que j’avais, Boosey & Hawkes. En revanche sur yt, le son d’orchestre est pâteux. Mieux que rien.
        Une autre tragédie de pays mise en musique est le Divertimento pour orchestre à cordes, écrit dans l’été 1939, dans la propriété de Paul Sacher.
        Là j’ai encore la partition de poche. Celle-là m’a été restituée.


      • rosemar rosemar 13 octobre 2019 19:55

        @arthes

        En effet, un lapsus révélateur...


      • Fergus Fergus 14 octobre 2019 09:46

        Bonjour, Rosemar

        Détrompez-vous, il m’arrive de m’« émerveiller », de ressentir de très fortes émotions artisitiques. Mais c’est forcément très rare et réservé à quelques-uns de ces moments de grâce où des artistes de stature internationale sont au sommet de leur art, à la fois au plan technique et au plan sensibilité.

        La dernière fois que j’ai connu cela, c’est à Dublin et cela ne concernait pas un(e) soliste, mais un orchestre : celui de la RTE à la tête duquel la cheffe d’orchestre Natalie Stutzmann donnait son dernier concert en dirigeant la 9e symphonie de Beethoven. J’ai rarement vu une telle communion entre un orchestre (et les choeurs) avec un chef, sans doute lié au contexte. Au final : plus d’un quart d’heure d’ovations d’un public debout. Un souvenir formidable.


        • rosemar rosemar 14 octobre 2019 12:26

          @Fergus

          Laissez donc aux autres le bonheur de s’émerveiller aussi : vous n’avez pas assisté à ce spectacle... point n’est besoin d’avoir une « stature internationale » pour faire preuve de talent !

          Un peu de modestie SVP ! Vous savez ce que c’est ?


        • Fergus Fergus 14 octobre 2019 13:27

          @ rosemar

          « Un peu de modestie SVP ! Vous savez ce que c’est ? »

          Désolé, mais c’est à vous que cette observation devrait s’imposer en premier !!!

          Le fait que tous les spectacles auxquels vous assistez dans le cadre des animations de Nîmes  dont je ne conteste pas la qualité  soient systématiquement qualifiés par vous de « merveilleux », « magnifiques », « extraordinaires », « époustouflants » n’est évidemment pas crédible, sauf à disposer d’un esprit si peu critique qu’il semble incompatible avec le profil d’une enseignante.

          C’est comme si vous compariez les prestations de la Comédie Française dans « Cyrano de Bergerac », « L’Ecole des femmes » ou « L’hôtel du Libre-échange » avec celles de troupes régionales, aussi talentueuses soient-elle, qui interprètent les mêmes pièces de théâtre !!!

          Ou comme si vous compariez les prestations en football du Nîmes Olympique avec celles du Real de Madrid !!!  smiley

          Il est à cet égard ahurissant que vous ne vous posiez jamais la moindre question  tant vous êtes pétrie de certitudes  sur cette loghorrée superlative que je ne suis pas le seul à avoir pointé du doigt, loin s’en faut. Et cela non pour vous nuire, mais pour vous inciter à ne pas persister dans cette voie si peu nuancée ! 

          Cela dit, libre à vous de garder le même ton « ravi » (au sens provençal). Mais ne vous étonnez pas de voir vos articles si mal notés ! Et là je n’y suis pas pour grand-chose !

          Excellente journée à vous !


        • rosemar rosemar 14 octobre 2019 13:38

          @Fergus
           
          Je ne suis pas la seule à avoir pointé et remarqué votre arrogance et votre manque de modestie... alors, si vous n’appréciez que les artistes de « renommée internationale », c’est que vous avez aussi l’esprit étroit...

          Très bonne journée à vous !


        • Fergus Fergus 14 octobre 2019 14:24

          @ rosemar

          « si vous n’appréciez que les artistes de « renommée internationale » »

          C’est faux, archi-faux !!!

          Je vous ai déjà indiqué que je prenais plaisir à voir et écouter des artistes nationaux, régionaux  je suis abonné à l’orchestre de Bretagne !  et même locaux  : je vais voir et applaudir par exemple les prestations des jeunes interprètes de l’Ecole de musique de ma ville !!! Cessez donc d’affirmer des bobards à ce sujet !

          Mais cela ne m’empêche pas de faire la différence entre lesdistes prestations, au contraire de votre personne. Et c’est en cela que vous êtes infiniment plus immodeste que moi : tout ce que vous touchez, tout ce que vous approchez au plan artistique est « génial »  ! Comme si la touche de génie n’émanait pas des interprètes, mais de votre présence !!!

          Encore une fois, ce n’est pas crédible, et c’est là que vous faites fausse route. Saluer le talent là où il se trouve est une excellente démarche, mais pas en l’auréolant d’une inspiration quasi-divine comme vous le faites systématiquement dans un état de béatitude confondant, tous spectacles et artistes confondus.

          Faites de temps en temps preuve d’un peu de l’esprit critique que vous êtes censée inculquer à vos élèves ! 


        • Fergus Fergus 14 octobre 2019 16:07

          @ alexis42

          Tiens, voilà le troll qui rapplique en serviteur dévoué ! smiley

          Et qui n’hésite pas pour cela à asséner les mensonges les plus éhontés, les interprétations les plus outrancières tant sa haine de ma personne est grande.

          Grand bien lui fasse !  smiley  smiley  smiley


        • rosemar rosemar 14 octobre 2019 17:46

          @Fergus

          Mais enfin ! Vous n’avez pas assisté à ce concert... Comment pouvez-vous juger de la qualité de ces interprètes ? Vous parlez dans le vide et vous vous donnez de l’importance... vous manquez de modestie, c’est une évidence et Alexis le souligne avec malice ! 


        • rosemar rosemar 14 octobre 2019 17:49

          @Fergus

          « Il a fréquenté tous les plus grands pianistes, violonistes, etc., les meilleurs orchestres et les plus grands chefs. » comme le dit si bien Alexis...
          C’est vous qui prétendez avoir le meilleur goût, c’est vous qui usez de superlatifs !

          Vous êtes démasqué...


        • Fergus Fergus 14 octobre 2019 09:53

          Bonjour, Arthès

          Heu... je ne me souviens pas avoir écrit le moindre article sur une prestation artistique locale. En fait jamais !

          Concernant la musique en Bretagne, j’ai écrit en revanche des articles sur les Chants de Marin de Paimpol (3e festival de Bretagne en fréquentation) et sur la Folle Journée de Nantes  évènement de renommée internationale pour ce qui concerne le classique.

          Excellente semaine !


          • Chocapic07 16 octobre 2019 13:49

            Bonjour Rosemar et merci pour votre compte rendu sur ce concert des Jeudis de Nîmes que j’ai découvert par hasard sur le net et m’a donné envie de vous répondre sur AgoraVox ainsi qu’à quelques-uns des commentaires à votre article. Votre enthousiasme à l’écoute de ces très jeunes musiciens talentueux est fort sympathique et, s’ils vous lisent, devrait les encourager dans leur vocation et leur travail. La vocation de l’AAECN (Association des Anciens Élèves du Conservatoire de Nîmes) qui organise ces manifestations tous les étés au Carré d’Art de Nîmes est s’offrir une scène aux lauréats issus de cet établissement, quel que soit leur âge et leur devenir. On peut donc y entendre de très jeunes diplômés à l’aube d’une jolie carrière, des artistes professionnels confirmés ou des amateurs éclairés qui continuent de pratiquer leur art à un haut niveau parallèlement à une autre profession mais qui ont l’envie de s’exprimer publiquement. Scène ouverte donc et spectacles gratuits offerts à un vaste public toujours plus nourri au fil des années. (Il faut arriver tôt pour trouver une place et peut-être faudra-t-il un jour « pousser les murs » !!€ Dans le cas présent, il s’agissait donc des plus jeunes générations, deux musiciens à peine majeurs fraîchement diplômés du Conservatoire de Nîmes, talents très prometteurs, lauréats de concours nationaux et internationaux, qui se produisent déjà sur de nombreuses scènes en France et à l’étranger tout en poursuivant leurs études loin du Gard où vous les avez applaudis. Votre description est intéressante. Quand vous parlez de « claironner » au sujet du Prélude en ré majeur (Livre 2 du Clavier Bien Tempéré), vous évoquez avec justesse l’imitation d’une trompette dans son thème (que Bach utilise aussi dans son Magnificat ou pour le Gloria de sa Messe en si) et qui exprime ici avec brio la joie exubérante de la tonalité festive et dansante de ré majeur ponctuée de soubassements de timbales à la main gauche. La Fugue qui vous a fait ressentir de l’apaisement est représentative du « stile antico » où JS. Bach utilise le clavier de manière quasi vocale et religieuse pour une construction savante avec un sujet dont la particularité est d’être travaillé en strettes, les entrées successives se coupant sans cesse la parole. Ce travail particulièrement délicat pour le pianiste requiert en effet une belle analyse et un équilibre sonore délicat des quatre voix superposées. Le jeu « de mémoire » est redoutable pour les interprètes qui doivent entendre, suivre et doser parfaitement chacune des voix en présence.

            Pour Mendelsohn, avec l’une de ses œuvres de piano les plus représentatives, la gradation du thème jusqu’à ses dernières variations vertigineuses et tourbillonnantes est saisissante. Elle exige un grand sens architectural, une belle maîtrise polyphonique tirée de la connaissance de l’oeuvre de Bach en même temps qu’une virtuosité légère et éblouissante.

            À propos de l’Étude nº 4 op. 10 de Chopin, votre idée de torrent est parfaitement exacte (ce fut sa dénomination à une époque où l’on aimait, de manière très romantique, donner un titre plus évocateur aux études). Le principe technique de l’œuvre est de faire travailler tour à tour les mains du pianiste, dans un flot ininterrompu de doubles croches véloces alternativement dans des positions ultra resserrées (des chromatismes) ou avec de larges intervalles. Des jeux de contrastes, avec de courtes interjections « forte » venant ponctuer un jeu essentiellement léger qui ne doivent à aucun moment perturber l’égalité du jeu. Ces trois textes, merveilleuses œuvres de la littérature pianistique, sont emblématiques des pièces de concours demandées dans les Conservatoires supérieurs de musique.

            Dans la deuxième partie du concert vous avez été sensible à l’expression et la sensibilité du jeu de la jeune altiste en présence. Il s’agit là pourtant de textes particulièrement riches et délicats de compositeurs du XXe siècle qui requièrent de l’interprète un haut niveau tant technique que musical. Quelle chance en effet de voir programmer et de pouvoir faire découvrir à un large public, lors de concerts gratuits, un tel répertoire peu fréquent sur les scènes musicales (l’œuvre de Roxanna Panufnik était certainement une première nîmoise) !

            Merci aussi de proposer par l’intermédiaire de votre blog une sélection d’enregistrements des œuvres que vous avez entendues. Belle initiative pédagogique. Le CBT de Bach par Sir András Schiff est évidemment une référence absolue, on peut aussi compléter l’écoute par des versions plus anciennes mais passionnantes d’Edwin Fischer ou Sviatoslav Richter, au clavecin de Gustav Leonhardt ou Scott Ross et à l’orgue de Louis Thiry (je suis loin d’être exhaustive...). Je partagerais avec vous quelques autres belles versions des Variations sérieuses de Mendelssohn : Murray Perahia ou Jorge Bolet, de Chopin : Études par Maurizio Pollini ou Claudio Arrau. Aller à la rencontre de Roxanna Panufnik par ses Zen Love Song et ses compositions pour ensembles vocaux. Le concerto de Bartòk par Tabea Zimmerman ou Kim Kashkashian.


            • rosemar rosemar 18 octobre 2019 23:34

              @Chocapic07

              MERCI encore pour ce commentaire : j’ai découvert ces concerts cet été, et j’ai adoré toutes les prestations de ces jeunes talents... des concerts de grande qualité...

              Bonne soirée

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