Nicolas Sarkozy a évoqué hier la possibilité d’une « attaque préventive » contre les sites nucléaires iraniens, si Téhéran maintenait ses ambitions dans ce domaine. Il reconnaît néanmoins que cela provoquerait « une crise majeure ».
Une crise, pas une troisième guerre mondiale.
Il semble de plus en plus y avoir un consensus autour de la menace posée par l’Iran.
L’opinion est donc préparée.