Il est devenu courant, sinon obligatoire de comparer notre pays aux autres. La gestion (j’allais dire le management) européenne, ses apothicaires et ses Diafoirus se livrent à cet exercice ô combien enrichissant.
Concernant la France, nous devons nous placer parmi les bons élèves avec nos 25% de sondés (mais jusqu’où les a-t-on sondé ?) qui se disent prêts à frauder le fisc. Car en Grèce, c’est 95%, et depuis si longtemps qu’on en pâlit d’envie.
Tout et son contraire, dites vous ? Mais bien sûr, le droit à la contradiction n’est-il pas l’apanage de tous ceux qui parlent pour les autres, y compris les politiques ?