Pour situer les choses dans leur contexte, il s’agit de l’analyse experte (car basée sur de saines lectures, à défaut d’être du vécu), d’un retraité de l’enseignement national depuis de longues années qui n’a pas grand chose à voir avec l’univers (forcément impitoyable) des start-ups.
Le couplet sur le globish fait toujours son petit effet et attirera la sympathie des nationalistes, espérantistes, germanophones et autres anglophobes.
Et oui, les choses changent, en bien ET en mal, comme nouvelle version de « The Times They are a-changin » (l’original date de 1964, soit 54 ans)