Oui, bien qu’élève très standard, j’ai fait du latin et du grec au collège. Mais à l’époque (je parle d’il y a cinquante ans) on arrivait en 6ème en sachant lire et écrire. Donc c’était envisageable et certainement profitable.
Et puis surtout, les penseurs ne nous étaient dévoilés qu’en terminale si la philo était au programme (les 42 heures de cours par semaine ne lui laissaient pas de place lorsqu’on était en terminale F3 par exemple) et ces cours étaient... en français. Dont la relation grec, latin -> grands penseurs est bien ténue.
Dernière chose. Je ne savais pas qu’Olivier de Kersauson, tout vicomte qu’il soit, était une référence en pédagogie. Comme quoi on en apprend tous les jours, même si ce n’est que dans la langue de Molière.