Les miliciens étaient d’aussis bons ou mauvais français que les résistants. Ce n’est pas le patriotisme qui devait déterminer l’ engagement du patriote dans l’un ou l’autre camp. le patriotisme est un terme trop générique pour définir quoique ce soit d’autre que la notion relative d’amour, ici, de la patrie.
Ce qui a mon sens peut déterminer un engagement c’est un ensemble complexe de facteurs : politiques, culturelles , conjoncturelles, économiques, historiques, psychologiques, sociologiques...bref une multiplicité d’idendités plutot qu’un idendité nationale qui se voudrait simplificatrice mais qui, on le voit dans cette espéce de débat organisé par la prefecture, renvoit a la complexité de la notion d’idendité.