Faux : « des syndicats radicalisés au point de s’abandonner aux positions les plus extrêmes »
Hélas pour les grecs, ils sont comme les nôtres dont certains freinent des deux fers toute monté revendicative. Résultat des grèves perlées au lieu de vrais grèves, un bon truc pour canaliser les ressentiments ! Mais là-bas ça commence à être trop !
(Le reste de l’article est bien)