Et donc pour en finir avec cette histoire, même si ils étaient plus que la moitié des votants, ce qui est obligatoire pour voter une loi, un petit chantage va vite calmer les ardeurs des récalcitrants.
Tu sais, comme L’entrée dans l’union Européenne d’un des pays de l’Est, qui disent « NON », et qui disent « OUI » une semaine après après les menaces de Sarkozy...