La soumission des gôôôchistes Delors Bérégovoy et autres (La Baudruche) à la titrisation de la dette, à la libéralisation, à la fin du contrôle des changes, à l’ouverture à la concurrence, à la traite négrière etc ....
A permis l’objectif final du Capital : la nanification totale de l’Etat et le purinemet du peuple sous-jacent
Kohn, s’en tripote joyeusement.
Nous lui [au nain RayBan-Rollex] avons demandé quel était son ministre des Finances préféré. Il n’a pas hésité une seconde. « Pierre Bérégovoy »,
nous a-t-il répondu. J’ai failli m’étrangler. « Pourquoi ? »
« Eh bien, a-t-il dit, parce que c’est lui qui a dérégulé les marchés ! » ....
Nietzsche est un présocratique, Hegel est un socratique.
Le premier croit à la nécessaire immanence de l’Être pour la vie dans l’instinct dionysiaque, le 2nd à la rationalité pour réifier l’Être générique en apollinien archaïque,
Puis vint la forge génétique du Cyborg boiteux.
Yavait un christique comme vous à une époque sur Agoravox ... grand lecteur de Mircea. Mais le boboïsme de gôôôche qui y sévit l’a lassé ....
La surface d’un stade de foot bétonné par jour en Helvétie .... explosion démographique par l’invasion de millionnaires ....
L’auteur est un colon du mondialisme !
« Chez nous l’opposition c’est le peuple » Oskar Freysinger UDC
« Nous voulons que chaque citoyen porte une responsabilité politique et refusons que quelques rares fonctionnaires politiques ou diplomates décident du sort de la grande majorité des citoyens. La foi dans la toute-puissance de l’État a malheureusement une longue tradition et continue à marquer de son sceau la pensée de politiciens européens, chez les socialistes de tous les partis. C’est pourquoi nous souhaitons ne pas nous intégrer à l’UE et à ses instances, quelles que soient les sympathies que nous puissions avoir pour ces pays et les habitants de ce continent. L’idée d’une UE organisée de manière centralisée et bureaucratique « du haut vers le bas » plaît aux socialistes et socio-démocrates. Le mot magique dangereux est en l’occurrence « l’harmonisation ». Les socialistes souhaitent que la politique et l’administration décident de tout à un niveau le plus élevé possible et qu’ils décident par conséquent partout de la même façon. Ils souhaitent adhérer au plus vite à l’UE. Nous souhaitons en revanche que les décisions soient prises à un niveau le plus bas possible. C’est pourquoi nous nous battons pour une Suisse qui reste fidèle à elle-même et à ses valeurs que sont la liberté, l’indépendance, la démocratie directe et le fédéralisme. »