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scripta manent

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  • Premier article le 15/07/2011
  • Modérateur depuis le 09/08/2011
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Derniers commentaires



  • scripta manent scripta manent 29 mai 2013 18:13

    A eau-du-robinet

    J’entends bien vos arguments, mais on pourrait aussi les formuler comme suit, l’équilibre des forces étant désormais ce qu’il est sur la planète :
    Une France isolée, ce serait : « la vassalité, la désindustrialisation et la dépendance financière, économique, industrielle, l’appauvrissement, le chômage, l’évasion des capitaux, le pillage des ressources, la mainmise par l’étranger sur les outils de travail, l’évasion des capitaux, la transformation du territoire en parc de loisirs, ... »
    Je crains fort que notre choix soit entre ne plus rien peser ou presque et peser fort dans une Europe forte (ce qui n’est pas vraiment le cas aujourd’hui, je vous l’accorde).  

    L’histoire millénaire de la France, à laquelle vous faites allusion, a connu de multiples évolutions, de frontière, de régime, de peuplement. La participation au projet européen est une façon de la poursuivre.



  • scripta manent scripta manent 29 mai 2013 15:40

    A eau-du-robinet

    Eau du robinet peut-être, mais alors eau bouillante !

    Pour rester dans l’aquatique, est-ce que vous rejetez le bébé avec l’eau du bain ? Je veux dire, est-ce que vous rejetez en bloc le projet d’Union européenne ?
    Pas moi : http://www.citoyensunisdeurope.eu/notes-du-portail-f69/les-etats-unis-d-europe-certes-mais-pour-quoi-faire-t339.html



  • scripta manent scripta manent 29 mai 2013 12:14

    A Webes

    Il est certain que l’Union européenne est aujourd’hui le royaume des tractations entre Etats et du donnant - donnant. (cf le Sommet sur le cadre financier 2014-2020, qui a atteint des ... sommets en la matière). Quant à savoir ce qui se « tracte », cela est réservé aux princes qui nous gouvernent et l’on en est réduit aux hypothèses et bruits de couloir.



  • scripta manent scripta manent 29 mai 2013 10:01

    A TOUSENSEMBLE

    L’Allemagne dicte aujourd’hui sa position. Il ne pourrait en être autrement que si plusieurs pays, suffisamment représentatifs, se groupaient pour soutenir le projet d’une « autre Europe ». Ce front « social » a fait une timide apparition au moment de l’élection de François Hollande (France, Italie, Espagne). Se reconstituera-t-il - en plus déterminé - d’ici les prochaines élections européennes ?
    Bonjour aux amis de Roosevelt 2012.



  • scripta manent scripta manent 29 mai 2013 09:37

    A BA

    A propos du rejet, en France, du Traité constitutionnel européen :
    « Selon un sondage Ipsos, le vote « non » était surtout tourné contre ce que les opposants voient comme la dégradation des conditions de vie actuelles (une des raisons invoquée par 52 % du « non ») et le trop grand libéralisme contenu dans ce projet de constitution (une des raisons pour 40 %). Il était également motivé par l’espoir d’un meilleur traité (une des raisons pour 39 %).
    Le vote « oui » était ressenti comme un vote pour l’Europe. Les motifs étaient de construire une Europe capable de faire face à la Chine et aux États-Unis (une des raisons invoquée par 64 % du « oui »), et aussi pour la difficulté de gérer une Europe à 25 avec les traités actuels (une des raisons pour 44 %). Les votants du « oui » avaient aussi pour but d’empêcher un « non » qui risquerait de mettre un coup d’arrêt à la construction européenne (une des raisons pour 44 %) et d’affaiblir le poids de la France dans cette Europe (une des raisons pour 43 %).
    Toutes tendances et votes confondus, exception faite de l’extrême droite, les Français expriment une opinion favorable à la poursuite de la construction européenne (72 %).
     »
    (merci à Wikipédia)

    Mais d’accord avec vous sur le profond déficit démocratique actuel de l’Union européenne.
    Les élections de 2014 donneront la possibilité, pour la première fois, de nommer un président de la Commission issu du courant devenu majoritaire au Parlement européen.
    C’est une innovation du traité de Lisbonne !

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