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Jean-Pierre Petit

Jean-Pierre Petit

Jean-Pierre Petit est un scientifique spécialiste en mécanique des fluides, physique des plasmas, magnétohydrodynamique et en physique théorique ; il a été directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique en activité en tant qu'astrophysicien à l'Observatoire de Marseille. Il est un pionnier d'un pan de recherche abandonné dans les années 1970, la magnétohydrodynamique et la magnétoaérodynamique. Il a notamment mis au point le principe de convertisseur MHD pariétal. Il a participé régulièrement à des colloques internationaux sur la MHD. En cosmologie, il a travaillé sur la « théorie de la bi-gravité ».
 
Il est surtout connu auprès du grand public pour ses ouvrages de vulgarisation scientifique, par ses livres — surtout la série des bandes dessinées Anselme Lanturlu présentant ses travaux scientifiques —, ainsi que son implication dans le domaine de l'ufologie, en particulier sa participation à l’affaire Ummo dont il a été le principal vulgarisateur au travers de ses ouvrages.

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  • Premier article le 12/09/2011
  • Modérateur depuis le 11/08/2014
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Derniers commentaires



  • Jean-Pierre Petit Jean-Pierre Petit 26 mars 2015 10:18

    @pyjahman
    Tore Supra ne monte qu’à des températures de dizaines de millions de degrés. Les cent millions de degrés n’y ont jamais été atteints. Ca n’était d’ailleurs pas le but, qui était de vérifier qu’on pouvait assurer une magnétisation par des éléments supraconducteurs. 


    Ne mélangez pas tout, svp. 


  • Jean-Pierre Petit Jean-Pierre Petit 26 mars 2015 09:57

    @christophe nicolas


    Monsieur,

    Il y aura un jour une « fusion froide », éventuellement par catalyse. La mousse de platine peut permettre de réaliser la combustion hydrogène dans oxygène à moins 20°, si vous décidez de maintenir cette température basse en faisant circuler de l’eau dans une tube métallique tapissé de cette mousse. Celle-ci ne rougira même pas ( comme on vous l’a montré au lycée ). . 

    C’est tout le miracle de la catalyse ( mal compris, du reste ). 

    La physique nucléaire est « de la chimie des noyaux ». On y retrouve tous les équivalents de la chimie ordinaire. La fusion est une simple réaction exo-énergétique. La fission est une dissociation auto-catalysée. 

    Pourquoi pas, un jour, un catalyseur imprévu, réalisant la fusion à température ordinaire. 

    Non-impossible. 

    Mais, présentement, les résultats de la fusion froide ne sont pas convaincants. Beaucoup d’échecs, d’amateurisme, d’artefacts, voire d’impostures et d’escroqueries, hélas. 


  • Jean-Pierre Petit Jean-Pierre Petit 26 mars 2015 09:41

    @Olivier
    Le contrôle des « ELMs » ( Edge localized Modes, ou modes instables localisés au bord) par champ magnétiques est une vieille lune. Au passage on ne sait pas si les disruptions sont créées à la partie extérieure du plasma ( au « bord » ) ou au coeur. 


    Ce système reviendrait à contrer le moindre démarrage d’instabilité. Comparaison : imaginez une casserole d’eau sur un feu. Vous créez un fond de casserole asservi pour contrer le moindre démarrage de colonne ascendante. Bref, réussir à faire bouillir de l’eau sans … courants de convection. Bon courage ...

    Evidemment, plus on poussera la machine et plus les instabilités seront violentes. C’est comme avec la casserole « asservie ». On pourrait maintenir le chauffage de l’eau par simple conduction, en contrariant les mouvements ascendant par contrôle local de la température du fond de la casserole, pour des gradients de température très modérés. Mais au delà ça s’avèrerait inefficace. 

    Ces systèmes ne pourront pas s’opposer aux ELMs , tous les spécialistes le savent. Mais le service de communication d’ITER ressort périodiquement cette « solution miracle », envisagée il y a des décennies. 

    D’autres systèmes pour envisager la fusion ? Plus simples, moins coûteux ? Pourquoi pas. La « sonofusion » par exemple. On envoie de l’eau « deutérée », faite de D2O au lieu de H2O dans une tuyère disque à très fort taux de détente. La cavitation produit alors des bulles, de grandes dimensions, porteuses d’énervement d’énergie, qui imploseront pas la suite (cavitation). 

    Cette implosion se traduit par une onde de choc centripète, qui focalise l’énergie sur un … point. 

    Autour d’hélices en bronze, au XIX° siècle cette cavitation faisait fondre le métal des hélices des Dreadnoughts de sa Majesté. Aujourd’hui on atteint 10.000° dans de l’eau (froide), avec des ultrasons ( sono luminescence ). Pourquoi pas des température de fusion par le système décrit. Il y a mille solutions outsider à envisager. 

    Au XIX° siècle qui aurait envisagé faire fondre du bronze avec de l’eau froide !? 


  • Jean-Pierre Petit Jean-Pierre Petit 26 mars 2015 09:21

    @pyjahman
    Qu’attend le CEA pour démonter mes cinq vidéos, postérieures à ces « réfutations » ? 


    J.P.PETIT 


  • Jean-Pierre Petit Jean-Pierre Petit 26 mars 2015 09:19

    @Layly Victor
    J’ai déjà formulé un longue réponse à votre propos, ce matin, 26 mars 2015, en évoquant la fusion neutronique par compression impulsionnelle. ITER n’est pas qu’une impasse. Ce projet est en retard sur les avancées en matière de fusion, de 2005 à nos jours. 


    J.P.PETIT 

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