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Grégoire Sedlak

Victime colatérale des "outils de régulation mis en place ces dernières années par les pouvoirs publics" et des "discussions sereines avec les Pouvoirs publics dans le cadre du chantier de refonte annoncé le 15 janvier 2011 par Xavier Bertrand, Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé"

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  • Premier article le 03/07/2012
  • Modérateur depuis le 25/09/2012
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Derniers commentaires



  • Grégoire Sedlak 8 janvier 2013 16:55

    Je ne peux m’empêcher de rebondir sur vos spéculations sur le remplacement de Chris Viehbacher par Hervé Gisserot.

    Je pense effectivement que le départ de Chris Viehbacher est inéluctable à court ou moyen terme. Jamais un dirigeant n’aura suscité une image aussi négative et délétère auprès de ses employés. Le « Smiling Killer », comme il s’est lui-même surnommé, a choisi de se positionner non pas au sommet d’une pyramide d’employés mais bel et bien du côté des actionnaires dans l’esprit « Jouons au Monopoly, et c’est moi qui tient la banque ! ».
    La démotivation a gagné l’ensemble des salariés de Sanofi et le climat est tel que Viehbacher aura du mal à piloter cette grosse machine à fric tout seul.

    Je rejoins complètement votre vision des choses lorsque vous prédisez le retour du fils prodigue, Hervé Gisserot à la tête de l’Empire. Le scénario « retour d’Allemagne, puis patron de GSK, patron du LEEM en même temps, puis retour à la tête du numéro 1 français » est prévisible.

    Sanofi échangera un ultra-libéraliste capitaliste apatride contre un autre.

    Après Viehbacher, Gisserot.
    Après la peste, le choléra.
    Après le Servier de Neuilly, Gisserot ex de l’équipe de campagne de Sarkozy en 2007. Le lobbying de Big Pharma s’offre simplement une cure de jouvence.

    Aux « Guignol de Big Pharma », le marionnettiste change les marionnettes, mais le spectacle reste le même.


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