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Primum non nocere

Primum non nocere

Etudiant, donc comme je l'entend souvent "un sale D'jeunss" (Je vous autorise à me lapider, mais très doucement) je me complaît dans certaine mélophilie, une légère misanthropie, et quelques idées naïves qui ont la peau dure. Féru de psychosocio, entre autre, j'aime à m'amuser des stéréotypes dans l'air du temps et m'essaye constamment à réfléchir à contre-courant de la doxa.
Plutôt dans la réaction que la rédaction, il ne serait pas étonnant que l'on se doive réhabiliter la théorie du chaos si je venais à être publié. Mes excuses par avance, donc, si mon bordelisme usuel venait à être source d'incompréhension lors de mes interventions/publications.
Primum non nocere.

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  • Premier article le 07/06/2014
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Derniers commentaires



  • Primum non nocere Primum non nocere 18 juin 2014 10:15

    Techniquement parlant si, c’est sexiste (ou a minima machiste, appelez ça comme vous voulez). Comprenez qu’il est naturel de croiser des hommes dans la rue et s’en contre-battre l’oreille avec une babouche, mais qu’une femme dans la rue serait moins naturel (puisque les comportements tendent à changer, les individus à se focaliser) : cela découle d’un climat social, d’une habituation à l’idée que justement les femmes ne seraient là que pour être draguées, seraient à la disposition de ces chibres ambulants-casquette à l’envers-sisitavu (qui par ailleurs peuvent passer la journée à cela, qui a parlé d’interchangeabilité du produit ?), que lorsqu’une femme est dans la rue, elle n’est là que pour contenter l’œil avide des mâles en place mais peut aussi avoir des trucs à faire (j’vous assure, c’est possible), SE DOIT de sourire gentiment aux sublimes compliments qu’elle peut entendre (« wesh tu pourrais sourire au moins, salope » Yep ça donne envie), etc etc. Qui plus est, au sens normatif, les agressions à caractère sexuel sont déjà sexistes en tant que telles, de par la quasi unilatéralité de celles-ci, leur forme, leur fond.

    Tout ceci est entre autre dû à ce que l’on appelle généralement « la culture du viol » (si vous avez quelques minutes à dépenser pour un court-métrage c’est ici). La culture du viol décrit un environnement social et médiatique dans lequel les violences sexuelles trouvent des justifications, des excuses, sont simplement banalisées, voire acceptées. Cela induit des comportements/idées au quotidien qu’il faut savoir identifier comme sexistes et anormaux (ce que fait très bien l’auteur).



  • Primum non nocere Primum non nocere 17 juin 2014 17:13

    ’vont arriver, z’inquiétez pas m’sieur-dame. Les charognards sortent de nuit, souvenez-vous smiley



  • Primum non nocere Primum non nocere 17 juin 2014 17:10

    Très bon article, à la fois drôle et criant de vérité sur l’état parfois lamentable de notre environnement social. Merci !



  • Primum non nocere Primum non nocere 17 juin 2014 13:15

    Surement que vos lecteurs ne veulent pas s’exposer en émettant une réponse socialement « inadéquate » ou trop Suisse/Normand... Ou que vos détracteurs veulent à tout prix ne pas appuyer votre propos. Perso’ je pense surtout que la question, bien qu’elle soit faite pour remettre à leur place certains, est biaisée parce qu’elle fonctionne sur le même principe que cette question ridicule que l’on entend dès l’approche du point Godwin : « en 40, vous auriez rejoint la résistance ? » ABSOLUMENT PERSONNE n’ose répondre non. Regard social et fantasmes sur ses propres valeurs biaisant le réel.

    Il ne faut pas nier la force de l’engagement de ces parents, mais on doit aussi entendre leurs questions, leur rites, pairs Avez-vous regardé mon lien ? C’est (partiellement) abordé, et peut amener à une réflexion plus large.

    ’fin bref, tout ça pour dire que la question de l’eugénisme est plutôt connotée, et éthiquement très discutée (et pas pour rien). Par contre, même si je reste en désaccord avec votre position sur l’eugénisme (bon et mauvais eugénisme sont des notions extrêmement subjectives, mon bon eugénisme n’est pas le votre par exemple), je trouve que le fond du fond de vos attentes semblent plutôt se rapprocher du Transhumanisme (mouvement somme toute appréciable sous nombre d’aspects). L’eugénisme n’est qu’un moyen (à mes yeux plutôt dangereux) parmi d’autres. A creuser.



  • Primum non nocere Primum non nocere 16 juin 2014 13:49

    Bonjour bonjour !

    Quel dommage de finir un article aussi bouillonnant d’idées (même s’il faudrait structurer un peu tout ça) et somme toute assez pertinent à plus d’un titre, notamment sur l’image des hommes véhiculée par les anti-féministes, par une exécution radicale et sans nuance des « radico-féministes »... Et puis, ça veut surtout dire que vous n’assumez pas vos intentions de départ. Genre : « j’ai écrit tout ça, je me suis fendu d’une analyse ambitieuse et tout et tout, mais attention, je suis pas féministe, hein, faut pas exagérer ! ».
    Il est vrai que ma conclusion est un peu « vite faite ». Mais en l’occurrence, je pointai du doigt des problèmes inhérents aux extrémistes de la pensée féministe, réduite à son essence la moins productive, comme ici, ou encore les groupements anarcho-féministes qui osent avancer dans leur argumentaire : Mais si l’homme qui veut s’impliquer dans le groupe partage leurs idées est pro-féministe et souhaite seulement les aider, et non s’imposer, pourquoi ne pourrait-il pas participer ? Simplement pour les mêmes raisons que pour tout homme ! En effet, il peut toujours incommoder des femmes du groupe par sa présence. (sic) Me considérant féministe (pour répondre à votre interrogation), je trouve cela excellemment injurieux, anti-productif, restrictif et dévalorisant (en tant qu’homme ET dans le combat pour le féminisme de manière plus générale).

    D’autre part, ai-je bien lu, vous trouvez le revendicatif stérile ? Vous condamnez le fait de revendiquer des choses ? Mais à quoi sert un mouvement militant si ce n’est à revendiquer ? Les beaux discours, c’est bien mais à un moment donné, il faut agir. Vous pensez que nous, les femmes, aurions le droit de vote si des féministes ne s’étaient pas montrées vindicatives ? Vous pensez qu’on va garder longtemps le droit à l’avortement, au vu des résultats des dernières élections, si personne ne monte la garde ?
    Arg, approximation sémantique, mes excuses. Je dénonçais en fait non pas le « revendicatif » tel quel, mais l’aspect vindicatif revanchard de certains groupuscules comme explicité plus haut.

    Quant au reste de votre commentaire, je n’ai tout simplement rien à ajouter, et ne peut qu’être en accord smiley

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